Publié le 29/10/2015

Dorothée SCHMID, , tribune dans Le Figaro

Angela Merkel s'est rendue mi-octobre à Ankara, pour y discuter de plusieurs sujets urgents avec le président turc Recep Tayyip Erdogan. Crise des réfugiés, terrorisme, montée des tensions au Moyen-Orient: autant de questions brûlantes et partagées entre la Turquie et ses alliés occidentaux. Pourtant, la confiance est nettement ébranlée et le dialogue tout sauf fluide. Si la chancelière appelle à resserrer les rangs dans l'adversité et à travailler davantage avec les Turcs, elle a aussi redit clairement que la Turquie n'a pas vocation à faire partie de l'Union européenne. Erdogan ne se prive pas de son côté de critiquer ses alliés européens, moquant régulièrement leur légendaire faiblesse face aux difficultés et aux crises.

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