Publié le 17/02/2017

Tatiana KASTOUEVA-JEAN, citée par Veronika Dorman dans Libération

Après avoir pesé sur l’élection de Trump, le Kremlin regarde avec intérêt la présidentielle française. Sans miser clairement sur un candidat.

Après avoir empoisonné la campagne présidentielle américaine, la Russie s’est invitée dans le débat politique français. Même si c’est sur leur programme de politique intérieure que les candidats sont attendus, ils se sont tous prononcés durant ces derniers mois sur leur rapport à la Russie, et à Vladimir Poutine en particulier. Marine Le Pen, qui avait contracté des crédits russes en 2014, compte reconnaître l’annexion de la Crimée si elle est élue ; François Fillon, dont la victoire à la primaire a été bruyamment applaudie à Moscou, s’engage à restaurer un dialogue avec Poutine, qu’il connaît déjà ; Jean-Luc Mélenchon défend la politique syrienne de Moscou ; Emmanuel Macron, lui, est convaincu que la Russie est en train de saboter sa campagne.

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