Publié le 28/07/2017

Nele Katharina WISSMANN, citée par Romain Rosso dans L'Express.

Un temps dépassée par la crise des réfugiés en 2015, la chancelière allemande reprend la main avant les législatives de septembre. Le défi de l'intégration reste immense.

Même l'extrême droite l'admet. "Angela Merkel n'a pas de concurrence." Cet aveu d'un représentant de l'Alternative für Deutschland (AfD) illustre un certain désarroi de ce parti, qui recule dans les sondages à quelques semaines des élections fédérales du 24 septembre.

Sa progression lors des consultations de 2016, en Saxe-Anhalt et dans la région prospère du Bade-Wurtemberg, laissait penser que la campagne serait dominée par l [1]a question des réfugiés, arrivés en masse il y a deux ans. Or, pour l'instant, elle est reléguée au second plan. 

« La réponse des autorités fédérales repose sur une idée simple : avant toute chose, l’intégration passe par l’apprentissage de la langue et de la culture allemandes », explique Nele Wissmann, chercheuse associée à l’Institut français des relations internationales (IFRI).

Lire l'article dans son intégralité dans le magazine L'Express [2].