Publié le 08/01/2020

Adel BAKAWAN, cité par Pierre Avril et Nicolas Barotte dans Le Figaro.

La flambée des tensions entre l’Iran et les États-Unis n’augure rien de bon pour les soldats étrangers déployés au Moyen-Orient.

En effet, "les Européens risquent d’être emportés par les turbulences d’une situation qu’ils ne contrôlent pas. « Ils sont ballottés, explique Adel Bakawan, spécialiste de l’Irak à l’Ifri. Les États-Unis fournissent 85 % des moyens de la lutte contre Daech ». Si jamais ils quittaient l’Irak ou révisaient leur stratégie, toute l’opération menée contre les islamistes serait à redéfinir. Or « l’Irak n’est pas en mesure financièrement et militairement de faire face à la radicalisation de la violence sur le terrain », poursuit le chercheur. 

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