Marie-Claire AOUN
Marie-Claire Aoun est directrice du centre Energie de l’Ifri et enseignante à l’Université Paris Dauphine. Elle débute sa carrière en 2004 au Centre de Géopolitique de l’Énergie et des Matières premières (CGEMP). Marie-Claire Aoun est titulaire d’un Doctorat en Sciences économiques de l’Université Paris Dauphine (2008), auteure d’une thèse portant sur la rente pétrolière et le développement économique des pays exportateurs de pétrole.
Entre 2008 et début 2014, elle est Economiste à la Commission de Régulation de l’Énergie (CRE), où elle contribue aux travaux sur la mise en œuvre du troisième paquet législatif de l’énergie et sur l’intégration des marchés du gaz en Europe. Elle a notamment été impliquée dans les travaux sur les mécanismes d’allocation des capacités de transport de gaz, les investissements dans les infrastructures gazières, l’harmonisation des structures tarifaires de transport du gaz naturel et la gestion de la congestion dans les conduites européennes de transport de gaz.
Marie-Claire Aoun parle couramment Français, Arabe et Anglais.
Ses travaux de recherche portent sur la géopolitique de l’énergie et du climat, les marchés pétroliers et gaziers, la sécurité énergétique de l’Europe et les politiques énergétiques des pays producteurs d’hydrocarbures.
dans The Guardian
Les 10,6 millions de Français abonnés au gaz devraient voir leur facture de gaz augmenter dès le 1er octobre, comme l’a laissé entendre la ministre de l’énergie, Ségolène Royal, sur BFM TV, jeudi 4 septembre.
...AFP par Martine Pauwels et Marie Heuclin
dans TV5 Monde
Après celles de 2006 et de 2009, une nouvelle crise gazière a éclaté entre la Russie et l’Ukraine, dont les conséquences pourraient se...
2006, 2009 et 2014. Trois années clés pour la politique gazière de l’Union européenne (UE), qui rappellent que l’énergie reste un élément déterminant des relations politiques entre l’Union et la Russie.
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dans France 5 - Emission "C"est dans l'air"
En plein débat à Berlin, sur les sanctions éventuelles contre la Russie après l'annexion de la Crimée, le ministre allemand de l'Économie a été clair : « Il n'y a pas d'alternative raisonnable au gaz en provenance de Russie pour l'approvisionnement...