Depuis la Conférence de Copenhague en 2009, la négociation climatique internationale fait du surplace. Elle ne pourrait être débloquée qu’en mettant au coeur des discussions la question de la tarification internationale du carbone.
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Avec plus de 150 parutions annuelles en français, anglais, allemand et russe en libre accès, l’Ifri enrichit le débat international dans un souci constant d’objectivité, de rigueur intellectuelle, de transversalité, d’ouverture et d’accompagnement à la prise de décision des acteurs publics et privés.
Le Soudan du Sud n’est encore ni un État ni une nation. Déchiré par les rivalités ethniques, divisé entre conceptions diverses de l’organisation de l’État, il ne connaît que la guerre comme moyen de dialogue politique.
Au service d’une « grande stratégie », Moscou dispose d’abord de l’arme énergétique : mais l’effondrement des cours du pétrole et le conflit avec l’Ukraine la relativisent fortement. La dimension militaire, traditionnelle, est aujourd’hui limitée à la capacité de mener de « petites guerres »...
Clivages géographiques, ethniques, économiques, religieux, dessinent une Libye en plein chaos, disputée par deux gouvernements soutenus par des milices en compétition pour la manne pétrolière.
Alors que le réchauffement climatique produit déjà des effets délétères, les négociations sur le climat ont jusqu’à présent largement échoué.
Boko Haram, une exception dans la mouvance djihadiste ? Politique étrangère, vol. 80, n° 2, été 2015
Boko Haram, créé vers 2002 et dirigé depuis 2010 par Abubakar Shekau, demeure un groupe mal connu.
La crise économique russe ne découle pas des décisions occidentales suite au conflit russo-ukrainien. Cette crise était prévue et annoncée.
Après la guerre de l’été 2006 entre Israël et le Hezbollah, une logique de dissuasion s’est établie entre ces deux acteurs. Les crises sporadiques ont ainsi été contenues et n’ont pas évolué vers des affrontements de grande ampleur.
Du raid sur Pristina (1999) à l’annexion de la Crimée (2014), Moscou entend montrer qu’elle ne se résigne pas à être une puissance de second rang se ralliant à des règles définies par d’autres.
Le débat sur la défense européenne sort de l’opposition classique entre zélateurs de l’Europe de la défense et partisans de l’Organisation du traité de l’Atlantique nord (OTAN).