En Irak, les Kurdes disposent d’un quasi-État. La guerre civile syrienne a pour résultat d’autonomiser les Kurdes du pays. La politique ambiguë de l’AKP (Parti de la justice et du développement – Turquie) dégage au profit des Kurdes un nouvel espace politique en Turquie.

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L’Ukraine est traversée de divisions historiques, idéologiques, économiques, religieuses, linguistiques, que sa brève histoire a échoué à unifier.
Dans la traditionnelle conception de la guerre juste, le conflit armé doit déboucher sur les conditions d’une paix durable.
Très minoritaires dans le pays et très divisés, les Kurdes de Syrie ont néanmoins pu gagner, à la faveur de la guerre civile, une relative autonomie dans leur espace du Nord.
La crise ukrainienne semble avant tout résulter du choc de deux malentendus sur les représentations russes et occidentales.
Le terme « stratégie » remonte à l’Antiquité grecque et sa signification a évolué avec le temps. S’il est aujourd’hui galvaudé et utilisé dans tous les domaines, il a précédemment fait l’objet d’essais de définition par les plus grands penseurs de la guerre.
Depuis 1991, les partis kurdes dominent et administrent le « Kurdistan irakien ».
Les débats de méthode sont anciens et nombreux sur les étapes de la croissance et les voies de la modernisation politique des pays.
En novembre 2013 le maître de la Turquie, Recep Tayyip Erdoğan, recevait avec les honneurs Massoud Barzani, président du Gouvernement régional du Kurdistan (GRK) irakien, à Diyarbakır, « capitale » kurde de Turquie.
Alors que le processus de paix entre le Parti des travailleurs du Kurdistan (PKK) et le gouvernement turc est au point mort, ce dernier tente de contourner les acteurs kurdes de Turquie en prenant appui sur le Parti démocratique du Kurdistan (PDK), qui domine le Gouvernement régional du...