Publié le 08/09/2015

Carole MATHIEU

Pour dépasser les clivages historiques, les négociateurs de l'accord de Paris ont décidé de privilégier l'autodifférenciation et de ne trancher les questions d'ordre juridique qu'à la fin du processus. Rédigées par chacune des parties, les contributions nationales offrent une base de discussion solide mais il faut s'assurer de leur caractère adéquat et instaurer un suivi de leur mise en oeuvre. Ce sont les arbitrages finaux qui détermineront le cadre des engagements et donc la crédibilité de l'accord...

 

Article publié dans RAMSES 2016. Climat : une nouvelle chance ? [1]

 

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