Publié le 17/11/2016

Agathe MAUPIN

Grâce à l’entrée en vigueur de l’Accord de Paris dès l’ouverture de la 22ème Conférence des Parties (COP) à la Convention cadre des Nations Unies pour lutter contre les changements climatiques (CCNUCC), cette dernière semble prête à tenir sa promesse d’être la COP de l’action. 

Faut-il pour autant attendre de véritables progrès de la COP22, qui se tient cette année au Maroc, au regard des attentes et demandes des pays africains ? Le choix de ce pays nord-africain, qui avait déjà hébergé la COP7 en 2001, pourrait être de bon augure pour l’Afrique, un an après que les Parties soient parvenues à un accord à Paris.

Il n’est cependant pas évident de conclure que l’ensemble des pays africains parle d’une seule voix dans le cadre des négociations climat. Comment les pays du continent gèrent-ils leur appartenance à plusieurs groupes de négociations ? Quelles sont les stratégies adoptées jusque-là par le groupe des négociateurs africains pour pallier la délicate combinaison des requêtes nationales avec une vision continentale ? 

 

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