Publié le 15/02/2018

Barbara KUNZ, citée par Sabine Syfuss-Arnaud dans Challenges.
Pour rester au pouvoir, Angela Merkel semble avoir accepté beaucoup de compromis. Plus qu’en 2013. A priori. C’était une exception de la vie politique outre-Rhin avant Angela Merkel. Maintenant, le recours à une grande coalition ne surprend plus personne.
 

Le 7 février, la chancelière signait en effet son troisième projet de « Grosse Koalition », dite « GroKo », en quatre mandat. Un document de 177 pages paraphé par les deux vieux alliés de la chrétienne-démocrate (CDU) : les chrétiens-sociaux bavarois (CSU) de Horst Seehofer (68 ans) et les sociaux-démocrates (SPD) de Martin Schulz (62 ans). [...]

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Postes clés au SPD [...]

Mais celle-ci n'a peut-être pas abattu toutes ses cartes. Politologue à l'Ifri, Barbara Kunz observe : « Les deux grandes différences entre le programme de 2013 et le projet actuel - des investissements massifs et le ministère des Finances au SPD - sont aussi des signaux envoyés aux Européens, notamment à Macron. »

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>> Lire l'article sur le site de Challenges [1]

>> Lire l'intégralité de l'article "Berlin lance sa Groko version 3" dans Challenges du 15/21 février 2018