Publié le 28/02/2021

Françoise NICOLAS, interviewée par Jelena Tomic pour "Fréquence Asie" sur RFI

Selon certains observateurs, le coup d’État en Birmanie contre un gouvernement démocratiquement élu était prévisible. En cause : les gigantesques intérêts économiques et financiers de l’armée, qu’il fallait à tout prix préserver.

Il y a tout juste un mois, la Birmanie est retombée sous le joug des généraux. Depuis le putsch du 1er février, le pays vit au rythme des manifestations géantes et d’une répression meurtrière qui a fait jusqu’ici 4 victimes.

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