Publié le 17/06/2021

Paul MAURICE, cité par Pierre Avril dans Le Figaro

La chancelière reçoit à dîner ce vendredi le président, alors que les deux pays préparent la succession de la dirigeante allemande.

Entre le président et la chancelière, les adieux s’éternisent. Après le dernier Conseil des ministres franco-allemand d’Angela Merkel, et les sommets du G7 et de l’Otan, Emmanuel Macron se déplace à nouveau à Berlin vendredi, invité à dîner par son homologue allemande en vue du prochain Conseil européen. Cette première invitation en chair et en os réservée à un hôte français est vue par la Chancellerie comme une belle symbolique.

À quatre mois des élections législatives, les deux capitales mettent en scène leur amitié, pour signifier que le départ de la chancelière après seize ans d’exercice du pouvoir n’affectera en rien la coopération des deux voisins.

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De leur côté, les Verts s’emploient à gommer leur image pacifiste, pour se rendre plus présentables aux yeux de Paris.

  • « Afin de contrer les attaques sur leurs racines antimilitaristes, ils mettent en avant ce qu’ils appellent “leurs responsabilités” », constate Paul Maurice, chercheur au Comité d’études des relations franco-alle-mandes (Cerfa) à l'Ifri.

 

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