Publié le 22/09/2021

Paul MAURICE, cité par Henrik Lindell dans La Vie

Les 16 ans d’Angela Merkel s’achèvent sur un bon bilan économique, alors que son pays a traversé plusieurs crises. Mais sur les questions qui déterminent l’avenir, de la transition écologique à la politique étrangère, des choix difficiles attendent son successeur.

À l’issue des élections législatives le 26 septembre 2021, une seule certitude : l’Allemagne et l’Europe en général perdront leur leader le plus populaire en la personne d’Angela Merkel, qui tire sa révérence politique. Elle achève son quatrième mandat à la tête du gouvernement et a réalisé la prouesse de conserver une cote de confiance digne d’une rock star, aussi bien dans son pays qu’ailleurs dans l’Union européenne.

Une part de cet énorme capital de confiance s’explique bien sûr par des qualités personnelles évidentes : à 67 ans, elle a la réputation, sans aucun doute justifiée, d’être moralement intègre et rigoureuse dans sa gestion, y compris auprès de ceux qui ne votent pas pour son parti chrétien-démocrate.

 

  • « Tant par son style que par son efficacité, elle incarne une certaine austérité allemande protestante anti-bling-bling qui rassure une grande partie des Allemands », comme le rappelle Paul Maurice, spécialiste de l’Allemagne à l’Institut français des relations internationales.

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