Publié le 16/03/2022

Olivier APPERT, cité par Vincent Collen dans Les Echos

Les deux pays de l'Opep, frappés par des embargos, produisent beaucoup moins de pétrole qu'ils ne le pourraient. Les pays consommateurs espèrent une augmentation rapide des exportations iraniennes en cas de levée des sanctions américaines. Le Venezuela mettrait beaucoup plus de temps à redémarrer sa production.

L'Iran et le Venezuela pour remplacer la Russie ? Alors que les grands pays consommateurs de pétrole cherchent à réduire leur dépendance aux hydrocarbures russes, ces deux pays membres de l'Opep, mis au ban de la communauté internationale, reviennent sur le devant de la scène.

Leurs immenses ressources pétrolières, aujourd'hui bridées par des embargos, suscitent la convoitise. Elles pourraient aider à rééquilibrer l'offre et la demande et à détendre, au moins un peu, des cours du brut au plus haut qui menacent l'économie mondiale.

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« PDVSA, la compagnie nationale, n'est plus que l'ombre d'elle-même », constate Olivier Appert, conseiller du Centre Énergie & Climat de l'Ifri.

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