Publié le 17/04/2012

Marc HECKER, , , Thomas RID

Le web 2.0 - fonctionnant de manière décentralisée selon une logique bottom up - correspond a priori assez mal à la structure des armées - bien plus centralisées et hiérarchisées. En outre, la transparence induite par les nouvelles pratiques d"Internet est susceptible de poser problème à une institution qui repose en partie sur le secret et qui ne s"est jamais distinguée par sa propension à communiquer.

Il est donc légitime de se demander comment les armées s"adaptent à l"essor des médias sociaux ou, en des termes plus triviaux, comment la "Grande Muette" gère l"émergence de la "société de conversation".

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