Publié le 16/09/2013

Corentin BRUSTLEIN, Etienne de DURAND, Marc HECKER, Elie TENENBAUM, Guillaume GARNIER

Alors que l’ONU doit présenter son rapport sur les attaques chimiques en Syrie, Paris, Washington et Londres maintiennent la pression sur le régime syrien et la menace d’une action militaire occidentale reste réelle.

Comment l’intention politique peut-elle se traduire en planification opérationnelle ? Comment peut fonctionner une dissuasion au profit d’un intérêt limité ? De quels moyens le régime Assad dispose-t-il pour répondre, directement ou indirectement, à d’éventuelles frappes sur son territoire ? Quelles formes pourraient revêtir, concrètement, ces frappes ? Les opinions soutiendront-elles un nouvel engagement militaire dans l’" Orient compliqué " ? Cinq chercheurs de l’Ifri replacent l’hypothétique frappe militaire dans son contexte politique et stratégique.

Étienne de Durand dirige le Centre des études de sécurité de l’Ifri, auquel sont rattachés comme chercheurs : Corentin Brustlein, Guillaume Garnier, Marc Hecker et Élie Tenenbaum.

Sommaire

" OUVRIR LA PORTE " : COMMENT CONDUIRE DES FRAPPES LIMITEES MAIS EFFICACES ?, par Etienne de Durand - dedurand@ifri.org [1]

SYRIE : POURQUOI NE SOMMES-NOUS PAS DEJA INTERVENUS ?, par Elie Tenenbaum - tenenbaum@ifri.org [2]

LA SYRIE ET LES DEFIS DE LA DISSUASION, par Corentin Brustlein - brustlein@ifri.org [3]

QUELLES OPTIONS DE RIPOSTES CONVENTIONNELLES POUR LA SYRIE ? par Corentin Brustlein et Guillaume Garnier - garnier@ifri.org [4]

SYRIE : LA RESISTIBLE ASCENSION DU TERRORISME ? par Marc Hecker - hecker@ifri.org [5]

 

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Natacha Crance - crance@ifri.org [6] / 01 40 61 60 22