Publié le 16/04/2020

Laurence NARDON, 35ème épisode de la série de podcasts "Trump 2020" en partenariat avec Slate.fr et Time to Sign Off

Grâce au confinement massif de la population, il semblerait que le nombre de personnes infectées par le coronavirus commence à se stabiliser dans plusieurs régions des États-Unis.

Ce lundi 13 avril, sept gouverneurs d'États du nord-est, dont New York, ont annoncé qu'ils allaient commencer à réfléchir ensemble à la manière dont le déconfinement pourrait s'organiser dans leurs États. 

Par ailleurs, au fil de l'épidémie de coronavirus un facteur aggravant ou de «comorbidité» a été pointé du doigt: le surpoids ou l'obésité. De fait, les personnes en surpoids ou obèses sont surreprésentées parmi les victimes et les patient·e·s admis·e·s en réanimation.

Or, le surpoids et l'obésité sont très répandus aux États-Unis. Ce sont des phénomènes particulièrement présents chez les personnes issues des minorités ethniques et dans les catégories sociales les plus pauvres.

Comment la population américaine est-elle devenue obèse? Pourquoi les minorités ethniques sont-elles autant touchées par ce phénomène? Qu'est-ce que le «super-sizing»? 

Pour suivre la course à la présidentielle américaine, Slate.fr [1] s'est associé à la newsletter «Time to Sign Off» [2] (TTSO) et à l'Institut français des relations internationales [3] (IFRI) pour proposer tous les mercredis le podcast Trump 2020, avec Laurence Nardon, chercheuse à l'IFRI et spécialiste des États-Unis, et Romain Dessal, fondateur de TTSO.