Publié le 15/01/2021

Paul MAURICE, cité par Hélène Kohl dans les DNA

Sept élections régionales et le scrutin législatif du 26 septembre qui scellera la fin de l’ère Merkel : l’année 2021 ouvre un nouveau chapitre politique en Allemagne. Première étape : le congrès national de la CDU, ces vendredi et samedi, et l’élection du président du parti chrétien-démocrate.

Angela Merkel en a longtemps fait une doctrine : le parti et la chancellerie doivent être tenus par la même main. Alors que les conservateurs restent, de loin, la famille politique préférée des Allemands (36 % d’intention de vote, près de 20 points devant les Verts), leur congrès national qui s’ouvre ce vendredi après-midi prend donc des allures de primaires : celui qui décrochera la présidence de la CDU à l’issue du vote en ligne des 1001 délégués, samedi midi, se glissera dans le costume de favori à la chancellerie.

Impossible d’avancer un nom. Trois hommes sont en lice sans qu’aucun ne se démarque.

 

« Pour la première fois depuis 1998, je n’avancerai à ce stade aucun pronostic », pointe Paul Maurice, chercheur au comité d’études des relations franco-allemandes (Cerfa) à l’Ifri.

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Lire également l'analyse de Frank DECKER « L’avènement d’une nouvelle époque dans des temps troublés. La CDU à la fin de l’ère Merkel [2] », Notes du Cerfa, n°157, décembre 2020.