Publié le 22/03/2009

Judith CAHEN

La visite à Paris du président syrien, à l’été 2008, a marqué symboliquement le nouveau cours de la diplomatie française et la fin de la brouille franco-syrienne. Reste à voir si la nouvelle donne permettra une solution politique durable au Liban, une plus large influence française dans la région et, par exemple, une accélération des négociations israélo-syriennes. Plusieurs hypothèques demeurent, dont la stabilité économique et politique interne du régime, ou ses liens avec Téhéran.

Judith Cahen, diplômée en Analyse du monde arabe contemporain (AMAC) à l’Institut d’études politiques de Paris et en arabe à l’Institut pontifical d’études arabes et d’islamologie (PISAI) de Rome, est chargée de mission Afrique du Nord/Moyen-Orient à l’Institut de recherche pour le développement (IRD).

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