Publié le 19/06/2014

Tatiana KASTOUEVA-JEAN,   dans Causeur.fr

Chaque année, c’est la même rengaine. L’angoisse des bacheliers devient le sujet numéro un des conversations privées et publiques. Parents, familles, amis, politiques et journalistes y vont tous de leurs petits commentaires. Cette fois-ci, la SNCF complique encore un peu plus la vie des étudiants de terminale, et la nôtre en bonus, avec la grève des cheminots. On n’ose imaginer le tintamarre si, en plus, la session de rattrapage au bac n’existait pas.

C’était le cas en Russie jusqu’à un récent décret qui offre aux lycéens russes une seconde chance au bac national, nommé EGUE.

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