Publié le 05/03/2014

Julien NOCETTI,   dans Réforme

Avant toute chose, il faut souligner la forte part d’émotivité de la diplomatie russe, qui remonte à la crise du Kosovo en 1998, et qui se greffe aux considérations politiques et stratégiques. Alors que nous pensions que le Kremlin s’attachait à développer une politique de « soft power », que l’organisation des jeux Olympiques de Sotchi devait parachever, afin de présenter la Russie comme un pays moderne, ce nouveau sursaut d’irrationalité est advenu. Pourquoi ?

Lire la suite