Publié le 15/02/2012

Alice EKMAN

Alors que la répression se poursuit en Syrie, Pékin, à l'image de Moscou, prône toujours la non-ingérence dans les affaires de Damas.

Comment expliquer l'attitude de la Chine qui n'a pourtant pas d'intérêts économiques ou militaires en Syrie ?