Qui succédera à la chancelière ?

 

Parmi les citoyens, les questions dominantes sont la crise sanitaire, le changement climatique et la transition énergétique, et enfin les questions sociales, notamment les retraites. Bien entendu, cela varie en fonction de l'âge et de l'État fédéral. Chez les jeunes, comme dans le Bade-Wurtemberg, le débat sur l'environnement domine. Dans l'est de la république, les questions sociales et de politique migratoire sont considérées comme plus importantes.

 

 

Oui et non ! En 2005, le chancelier Schröder (SPD) était très impopulaire, en 2017 il y a eu le phénomène de Martin Schulz (SPD), qui était considéré comme le favori avant de s'effondrer. Lors des deux élections, la CDU et le SPD étaient au coude à coude à la fin, de sorte que l'élection semblait déjà terminée. Ce qui est le plus surprenant aujourd'hui, c'est la fragmentation de l'électorat. Dans les sondages, aucun parti n'est au-dessus de 25 %. Les anciens petits partis, le FDP, les libéraux et les Verts, obtiennent 15 à 20 % des voix. Un autre facteur important en Allemagne est le vote par correspondance, qui semble être plus favorable aux Verts et au SPD. Olaf Scholtz (SPD) gagne également la sympathie des personnes âgées. Mais nous devons être prudents avec les prévisions : Tout peut encore changer.

 

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