Dans un contexte international marqué par la résurgence des rivalités de puissance, les coopérations entre l’Iran, la Chine, la Russie et la Corée du Nord suscitent une attention croissante.

La Turquie est entrée dans une nouvelle phase de turbulences. L’arrestation du maire d’Istanbul, Ekrem İmamoğlu, le 19 mars 2025, a déclenché un grand mouvement de contestation, que le parti d’opposition CHP tente de structurer ; le gouvernement turc poursuit en parallèle son processus de paix avec le PKK, qui pourrait bouleverser complètement le paysage. Ces développements, qui révèlent l’instabilité des équilibres politiques du pays, auront sans aucun doute de profonds effets sur la gouvernance interne, la stabilité de l’économie, la paix sociale, et même, par dérivation, les choix de politique étrangère de la Turquie.