11
oct
2018
Espace Média L'Ifri dans les médias
Barbara KUNZ, citée par Sabine Syfuss-Arnaud dans Challenges

“ En Allemagne, il ne peut y avoir un fétichisme perpétuel pour les excédents. ”

Le 10 mai 2018, à Aix-la-Chapelle, lors de la remise du prix Charlemagne pour son engagement européen. 51 % des français pensent que c'est vrai ~ 36 % des français pensent qu'il a eu raison de dire cela. (Source : ODOXA). 
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« Drôle de timing, glisse un diplomate allemand de haut rang. Et drôle de façon de répondre à la chancelière qui venait de lui remettre la médaille de l'Européen de l'année. »

  • « La plupart des allemands ne partagent pas la vision française, confirme Barbara Kunz, spécialiste des relations franco-allemandes à l'Ifri. lis sont fiers des excédents qu'ils ont réussi à dégager au prix de réformes drastiques au début des années 2000. Ils estiment que ce n'est pas de leur faute si les autres sont moins performants qu'eux. »

 

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>> Lire l'intégralité de l'article “En Allemagne, il ne peut y avoir un fétichisme perpétuel pour les excédents.” dans Challenges du 11 au 17 octobre 2018, p. 66

 

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