La transition urbaine en Afrique : comment financer les infrastructures ?
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En savoir plus sur nos programmes de soutienUne visioconférence Les jeudis de l'Ifri autour d'Alain ANTIL, Directeur du centre Afrique subsaharienne, et de Sina SCHLIMMER, Chercheuse au centre Afrique subsaharienne de l'Ifri.

D’ici 2050, la population de l’Afrique subsaharienne va doubler et plus 50 % sera urbaine. Comment fournir et financer les infrastructures urbaines nécessaires pour accueillir plus de 500 millions d’urbains qui vont rejoindre les villes africaines ? Dans quelle mesure cette urbanisation met-elle en compétition les partenaires traditionnels de l’Afrique (Europe) avec les acteurs émergents (Chine, Russie, Etats du Golfe) ?
Présidence : Thomas Gomart, directeur de l'Ifri.
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La gouvernance foncière à la marge des villes africaines. Enjeux socio-économiques de la croissance des marchés fonciers en zone péri-urbaine
À l'horizon 2050, la population en Afrique devrait doubler. Il est estimé que le continent comptera 2,5 milliards d'habitants. Près de la moitié de cette population vivra dans des agglomérations urbaines. Les villes métropolitaines, telles que Lagos, Nairobi, Dar es Salaam ou Abidjan accueilleront plusieurs dizaines de millions de citadins. Les zones périurbaines sont les plus touchées par l'expansion des villes et c'est ici qu'ont lieu d'importantes transformations sociales, politiques et économiques.
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Un échiquier mondial haché par les vertiges de puissance. Un spectre hante le monde : la fragmentation - après des décennies chantant l'ouverture et l'unification sous le signe du progrès technique et de l'accélération des échanges. On passerait ainsi d'un espace mondialisé à un espace haché, émietté en égoïsmes nationaux, intérêts égoïstes insoucieux des autres, effaçant au passage l'espoir d'une gouvernance faisant écho aux intérêts communs d'une humanité unie.