Europe
L'Europe est entendue ici dans son acception géographique. Elle ne se limite pas à l'Union européenne, et inclut par exemple le Royaume-Uni ou les Balkans. Elle reste centrale dans les relations internationales.
Sujets liés

Dossier Ramses 2026 N° 2 - Europe : ses marges stratégiques

L'Europe est cernée de fureurs et de bruits : à l'Est, au Nord, autour de la mer Noire, au Sud, et jusqu'à l'Ouest atlantique où la solidarité américaine semble chaque jour remise en cause.
75e sommet de l’OTAN à Washington. Un cadeau empoisonné pour l’administration Biden
En offrant d’accueillir à Washington, du 9 au 11 juillet prochains, le sommet marquant les 75 ans de l’Organisation du traité de l’Atlantique nord (OTAN), l’administration Biden escomptait une grande communion autour du succès historique de cette alliance, incarnation du leadership américain sur l’espace euro-atlantique. Elle ambitionnait aussi de valoriser son bilan, celui d’une « réparation » des alliances et partenariats endommagés par Donald Trump, avec la relance d’une organisation qu’elle avait trouvée en pleine crise existentielle.

Le passé présent, l’Allemagne face à la montée de l’extrême droite.
Le passé présent, l’Allemagne face à la montée de l’extrême droite.
‘‘Jusqu’ici, tout va bien’’ ? Analyse croisée des cultures contestataires en France et en Allemagne
Les divers courants de contestation qui s’expriment en France et en Allemagne exercent une influence complexe sur la démocratie. La contestation revêt différentes formes ; elle assure une représentation politique et contribue à la formation de la volonté politique.

Relations entre la France et l’Allemagne : « Le traité d’Aix-la-Chapelle risque d’être dépassé par l’évolution de la politique mondiale »
Le 22 janvier 2019, le président français, Emmanuel Macron, et la chancelière allemande d’alors, Angela Merkel, signent le traité d’Aix-la-Chapelle en Rhénanie-du-Nord-Westphalie.
Défense Européenne : les 27 au pied du mur ?
100 milliards d’euros pour réarmer l’Europe. C’est la proposition faite ces jours-ci par Thierry Breton, commissaire européen au portefeuille bien garni puisqu’il a en charge le numérique, l’industrie, le marché intérieur, l’espace et la défense.
Thomas Gomart : « On peut imaginer des scénarios où la dissuasion nucléaire ne fonctionnerait pas »
Géopoliticien et directeur du principal think tank français, l’Institut français des relations internationales (Ifri), Thomas Gomart prend le temps d’analyser les bouleversements stratégiques mondiaux. En Europe, le chercheur préconise une approche lucide pour relever les défis qui s’imposent, tout en « soignant son pessimisme ».
Alternative für Deutschland : l'extrême droite allemande entre popularité et polémique
En Allemagne, l’extrême droite a le vent en poupe. Le parti Alternative für Deutschland représente actuellement 23% des intentions de vote au niveau national selon Europe Elects, contre 10% en 2022.
En République serbe de Bosnie, une "fête nationale" au parfum de sécessionnisme
Plus de trente ans après la proclamation de leur "République", les Serbes de Bosnie célèbrent mardi leur "fête nationale", une commémoration jugée illégale par le reste du pays, Bruxelles et Washington. Leur dirigeant nationaliste et pro-russe, Milorad Dodik, a choisi de décorer le Premier ministre hongrois, Viktor Orban, de la plus haute distinction de la République serbe.
L’espace postsoviétique sous l’œil de Moscou
Depuis l’invasion de l’Ukraine, les affirmations nationales d’ex-républiques soviétiques s’intensifient et des rapprochements avec l’Europe s’accélèrent. La Russie conserve cependant un fort pouvoir de nuisance dans ces pays, considérés comme son « étranger proche ».
Adhésion de l'Ukraine à l'UE : à quel jeu joue la Hongrie de Viktor Orbán ?
Jeudi 14 décembre, l'Union européenne a annoncé l'ouverture de négociations, en vue d'une intégration de l'Ukraine. Alors que la Hongrie menaçait d'utiliser son droit de véto, Budapest s'est finalement abstenue. Une stratégie réfléchie par Viktor Orbán, qui disposera d'autres opportunités pour faire capoter un projet auquel il est opposé.

Why Brexit is unpatriotic
“The United States, China, and maybe the European Union, if Great Britain stays within it” will lead tomorrow’s world; in fact, continued EU membership is the only way for the United Kingdom to secure “a future worthy of her past." This sentiment could have come straight out of an old French discourse on the pursuit of grandeur through European integration. In fact, it came from former British Labour Prime Minister Gordon Brown.

L'exception anglaise risque de contaminer l'Europe
Les concessions faites aux Britanniques pour éviter un Brexit (« British exit ») décomplexent les eurosceptiques, estime Vivien Pertusot.

Comprendre le "Brexit" en 3 minutes
Vivien Pertusot répond aux questions de "Un café avec" autour du "Brexit" - une éventuelle sortie du Royaume-Uni de l'Union européenne. Il décrypte en trois minutes les principaux enjeux.
Le patriotisme britannique au secours de l'Union européenne
Les Etats-Unis, la Chine et peut-être l'Union européenne - si le Royaume-Uni en est toujours membre - seront responsables demain de l'avenir du monde. Si la Grande-Bretagne, par patriotisme, veut un futur à la hauteur de son passé, elle ne peut que choisir de rester dans l'Union. » On croirait entendre un vieux discours français sur « la poursuite de la grandeur par d'autres moyens ».

« Faire le maximum pour que la Grande-Bretagne reste dans l’Union »
Il faut faire le maximum pour que la Grande-Bretagne reste dans l’Europe. Ce pays est essentiel à l’Union pour deux raisons principales. D’abord, pour être forte et cohérente, l’Europe a besoin de toutes ses composantes historiques. Durant la Seconde Guerre mondiale, la Grande-Bretagne a été un acteur essentiel de la liberté contre l’Allemagne nazie.

L'Europe en 2015 : Vivien Pertusot invité de "La Semaine de l'Europe"
Invité de "La Semaine de l'Europe", Vivien Pertusot revient sur les principaux dossiers qui ont animé la vie politique européenne en 2015 : crise de la zone euro, Grèce, crise des réfugiés, crise ukrainienne...

Turquie : Erdogan tout-puissant ou fragile ?
Angela Merkel s'est rendue mi-octobre à Ankara, pour y discuter de plusieurs sujets urgents avec le président turc Recep Tayyip Erdogan. Crise des réfugiés, terrorisme, montée des tensions au Moyen-Orient: autant de questions brûlantes et partagées entre la Turquie et ses alliés occidentaux. Pourtant, la confiance est nettement ébranlée et le dialogue tout sauf fluide. Si la chancelière appelle à resserrer les rangs dans l'adversité et à travailler davantage avec les Turcs, elle a aussi redit clairement que la Turquie n'a pas vocation à faire partie de l'Union européenne. Erdogan ne se prive pas de son côté de critiquer ses alliés européens, moquant régulièrement leur légendaire faiblesse face aux difficultés et aux crises.

David Cameron va poser ses exigences pour l’Europe
Depuis juin, David Cameron s’est déplacé dans toutes les capitales européennes pour rencontrer ses homologues et préparer le terrain. Un « groupe de travail » a été constitué sous l’égide de la Commission européenne pour mener des « discussions techniques » avec Londres.
« Il s’agit de mieux cadrer les négociations, de réfléchir aux modalités juridiques envisageables pour accommoder les demandes britanniques, explique Vivien Pertusot. Qu’est-ce qui nécessite une révision des traités ? Tout ça est très confidentiel ». L’exercice a en tout cas « atteint ses limites », selon plusieurs sources européennes.

Le TPP et ses implications pour la Chine et l’Europe
John Seaman répond aux questions du China Daily sur la conclusion des négociations du Partenariat trans-pacifique (TPP) et ses conséquences pour la Chine et pour l’Europe.

Réforme de l'UE, TTIP, séparatisme : Vivien Pertusot invité de "La Semaine de l'Europe"
Vivien Pertusot est l'invité de "La semaine de l'Europe" pour parler de la réforme de l'Union européenne, du traité transatlantique d'investissement et de commerce (TTIP) et des mouvements séparatistes en Europe à la suite des élections catalanes.
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