Informations pratiques
Thématiques et régions
Centres et programmes liés
Ceci est un événement réservé.
En savoir plus sur nos programmes de soutienL’Afrique du Nord et le Moyen-Orient apparaissaient comme des espaces a priori fragiles face à l’épidémie de Covid-19 : flux migratoires importants, fortes inégalités sociales et des structures de santé, gouvernances défaillantes, contestations violentes et guerres ouvertes, auraient pu amplifier la crise sanitaire et aggraver la situation générale.
Deux mois après les premières décisions de confinement, la région n’est cependant pas si mal en point. La contagion est plus ou moins contenue et les régimes profitent de l’accalmie forcée pour reprendre leurs marques. La compétition des puissances continue de se jouer en marge de la crise sanitaire, et son issue dépendra de deux facteurs : l’évolution des conflits, qui mutent provisoirement hors de la surveillance de la communauté internationale, et la résilience économique relative des pays rentiers, frappés de plein fouet par la baisse des prix du pétrole.
Une visioconférence autour de Dorothée SCHMID, Responsable du Programme Turquie/Moyen-Orient de l'Ifri.
Présidence :
Thomas Gomart, directeur, Ifri
Visioconférence réservée aux membres de l'Ifri - Les codes d'accès seront communiqués aux inscrits par mail quelques heures avant le débat.
Sujets liés
Autres événements
De l’Alaska à Washington : la paix est-elle désormais plus proche en Ukraine ?
Un brief de 30 minutes autour de Tatiana Kastoueva-Jean, Directrice du Centre Russie de l'Ifri
La reconfiguration du triangle Europe-Inde-Chine à l’aune de l’administration Trump 2
Un déjeuner-débat autour de Sylvia Malinbaum, chercheuse et responsable de la recherche sur l'Inde et l'Asie du Sud au Centre Asie de l'Ifri et
Un nouvel échiquier. Présentation du Ramses 2026
Un échiquier mondial haché par les vertiges de puissance. Un spectre hante le monde : la fragmentation - après des décennies chantant l'ouverture et l'unification sous le signe du progrès technique et de l'accélération des échanges. On passerait ainsi d'un espace mondialisé à un espace haché, émietté en égoïsmes nationaux, intérêts égoïstes insoucieux des autres, effaçant au passage l'espoir d'une gouvernance faisant écho aux intérêts communs d'une humanité unie.