
Jean-Christophe NOËL
Chercheur associé, Centre des Etudes de Sécurité de l'Ifri
Domaines d'expertise :
- Air Power
- conflits modernes
- technologie et defense
Jean-Christophe Noël est chercheur associé au Centre des Etudes de Sécurité de l'Ifri. Il est un ancien officier de l’armée de l’Air. Après avoir mené une carrière de pilote de chasse, il a tenu diverses places en état-major, traitant notamment des affaires de doctrine ou de prospective.
Il a également été l’adjoint du chef de cabinet du chef d’état-major de l’armée de l’Air de 2006 à 2009, Military Fellow au Center for Strategic and International Studies à Washington DC en 2009 et expert chargé des affaires politico-militaires pendant cinq ans au Centre d’analyse, de prévision et de stratégie du Ministère des Affaires Etrangères de 2012 à 2017.
La campagne aérienne russe dans la guerre en Ukraine est relativement faible et désordonnée. Quelles sont les raisons derrière l’absence de supériorité aérienne russe ? Ce briefing livre les premiers éléments d’analyse.
Israël est communément appelé aujourd’hui la start-up nation en raison du dynamisme de son économie numérique. Le but de cette analyse est de caractériser les ressorts de cette cyberpuissance.
Longtemps cantonnée au champ de la science-fiction, la perspective d’un combattant aux ressources physiques et cognitives transformées par la technologie afin d’accomplir des performances extrahumaines dans le cadre d’un usage militaire semble de moins en moins éloignée de la réalité.
La pandémie de coronavirus agit comme un double catalyseur. De manière visible, elle teste la résilience de l’Union européenne (UE) et de ses membres, tiraillés entre la Chine d’où est parti le virus et les États-Unis où il arrive.
La puissance numérique désigne la capacité d’un acteur à exploiter les flux de données numériques pour contribuer à modifier le comportement d’autres acteurs sur la scène internationale.
Sans jamais avoir disparu, la menace surface-air a été tenue en respect durant trois décennies de supériorité aérienne occidentale. Elle bénéficie aujourd’hui d’une dynamique de modernisation et de dissémination vouée à entraver de façon croissante la liberté d’action des forces...
Les développements de l’Intelligence artificielle (IA) n’en sont qu’à leurs débuts et ils ont déjà un impact sur les forces armées.
L’intelligence artificielle (IA) est une technologie en plein développement qui fascine et inquiète à la fois. Elle fascine par son potentiel, si l’on en croit le volontarisme des grandes puissances à en maîtriser rapidement l’usage.
L’intelligence artificielle (IA) est un enjeu de défense prioritaire pour les puissances militaires du XXIe siècle. Sans surprise, les États-Unis et la Chine sont aujourd’hui en tête de cette nouvelle course aux armements digitalisée.
Opération des yeux pour voir la nuit, implant corporel... L'armée française se prépare au futur « soldat augmenté ». Tout en fixant des « lignes rouges ».
Journée spéciale aujourd’hui sur France Culture à l’occasion de la Nuit des idées : Quelles idées neuves pour 2020 ? L’occasion pour Cultures Monde de se pencher sur un enjeu montant des relations internationales : l’intelligence artificielle.
Il s'appelle le drone Reaper, et il est la nouvelle arme déployée par l'armée Française dans le ciel sahélien afin de lutter contre le jihadisme. Spécialistes et officiers ont décrit cet engin pour notre antenne ce lundi matin.
Loin d’être encore mature, la technologie de l’intelligence artificielle sera un formidable levier pour l’Homme. Mais elle pourrait être également une arme de domination pour les pays qui la maîtriseront.
A l'avenir, l'intelligence artificielle guidera les robots militaires. Les ONG et de nombreux experts s'en inquiètent.
Pour les armées modernes, « l’intelligence artificielle (IA) se présente comme la voie principale de la supériorité tactique » et elle est devenue « un enjeu de défense prioritaire pour les puissances militaires du XXIe siècle »....
Ce chiffre, fourni par les militaires, mélange l'ensemble des «armes utilisées», quel qu'en soit le type, en 2017, par l'ensemble des aviations des coalitions qui bombardent l'Afghanistan, l'Irak et la Syrie.