L’escalade de la crise en Ukraine à l’hiver 2021-2022 a remis les relations américano-russes sur le devant de la scène.
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L’année 2020, particulièrement tumultueuse, a mis à l’épreuve les institutions internationales et de nombreux liens bilatéraux.
Entre les deux leaders technologiques que sont les États-Unis et la Chine, la Russie fait jusqu’à présent figure d’outsider dans l’analyse des enjeux globaux d’intelligence artificielle (IA).
L'élection de Volodymyr Zelensky à la tête de l'Ukraine en avril 2019 a suscité de fortes attentes au sein de la société.
Plongé dans une crise socio-économique, le Bélarus ne peut plus compter sur le soutien financier que la Russie lui a longtemps octroyé.
Sous les présidences de Vladimir Poutine, la mémoire historique est devenue un outil essentiel de légitimation politique.
La chute de l’Union soviétique a mis fin aux mouvements sous l’égide du Parti communiste destinés aux enfants et aux jeunes, mais aussi aux cours de « préparation militaire initiale » qui étaient obligatoires pour les lycéens soviétiques.
Au cours de ces dernières années, l'Asie du Nord-Est est apparue comme un enjeu clé de la politique étrangère russe.
Dans la politique étrangère de Vladimir Poutine, le projet de « Grande Eurasie » occupe une place centrale en tant que symbole de la renaissance de l’influence internationale de la Russie.
Depuis plusieurs années, Moscou s’attache à développer ses relations avec l'Asie du Sud-Est, en particulier au travers de la coopération économique et des ventes d’armes.