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L'impasse nucléaire iranienne : la non-prolifération au défi de crises multiples. L'impact de la guerre en Ukraine et des manifestations sur le retour au JCPOA

Briefings
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Proliferation Papers
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Accroche

Les négociations pour le retour à l’accord sur le nucléaire iranien sont au point mort. Si de nombreux facteurs bloquants propres au dossier sont connus de longue date, tels que le règlement de contentieux avec l’Agence internationale de l’énergie atomique ou le manque de confiance de l’Iran envers les États-Unis, d’autres sont apparus courant 2022.

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Rencontre entre Rafael Grossi, directeur de l’AIEA, et Mohamed Eslami, vice-président iranien et directeur de l’Organisation iranienne de l’énergie atomique, 66e conférence de l’AIEA, Vienne, septembre 2022
Rencontre entre Rafael Grossi, directeur de l’AIEA, et Mohamed Eslami, vice-président iranien et directeur de l’Organisation iranienne de l’énergie atomique, 66e conférence de l’AIEA, Vienne, septembre 2022
Dean Calma / IAEA
Corps analyses

La guerre en Ukraine et le rapprochement entre l’Iran et la Russie qu’elle a provoqué apparaissent désormais comme le principal point de blocage. Outre imposer des sanctions supplémentaires à Téhéran dans ce cadre, les pays occidentaux se refusent de négocier avec un pays complice de Moscou, d’autant plus que la Russie cherche à perturber le processus pour son propre bénéfice. 

L’Iran profite de ce délai pour accélérer son programme, atteignant des records d’enrichissement de l’uranium, ce qui raccourcit le temps nécessaire à l’obtention d’une arme nucléaire. En retour, les puissances régionales s’organisent afin d’interdire à Téhéran de franchir cette limite.

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ISBN / ISSN

979-10-373-0719-4

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L'impasse nucléaire iranienne : la non-prolifération au défi de crises multiples. L'impact de la guerre en Ukraine et des manifestations sur le retour au JCPOA

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Auteur(s)
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Héloïse FAYET

Héloïse FAYET

Intitulé du poste

Chercheuse, responsable du programme dissuasion et prolifération, Centre des études de sécurité de l'Ifri

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Un soldat contemplant un coucher de soleil sur un véhicule blindé de combat d’infanterie
Centre des études de sécurité
Accroche centre

Héritier d’une tradition remontant à la fondation de l’Ifri, le Centre des études de sécurité de l'Ifri fournit aux décideurs publics et privés ainsi qu’au grand public les clefs de compréhension des rapports de force et des modes de conflictualité contemporains et à venir. Par son positionnement à la jointure du politique et de l’opérationnel, la crédibilité de son équipe civilo-militaire et la diffusion large de ses publications en français et en anglais, le Centre des études de sécurité constitue dans le paysage français des think tanks un pôle unique de recherche et d’influence sur le débat de défense national et international.

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Un Rafale bi-place en vol avec un ASMP-A sous les ailes
Dissuasion et prolifération
Accroche centre

Les conflits en Europe, en Asie ou au Moyen-Orient témoignent d'un retour du fait nucléaire dans les rapports de force. Les arsenaux se modernisent et s'accroissent, tandis que la maîtrise des armements s'effondre. Ce programme de recherche vise à analyser ces phénomènes.

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Les mots, armes d'une nouvelle guerre ?

Les mots, armes d'une nouvelle guerre ?

Date de publication
01 octobre 2024
Accroche

Les Mots armes d’une nouvelle guerre rappelle une vérité souvent oubliée : les mots tuent. Ils préparent l’action militaire et lui donnent un sens. Alors que chaque événement retentit désormais dans le monde entier, répercuté de smartphone en smartphone ou d’ordinateur en ordinateur, tout acte de guerre tend à devenir un acte de communication, et inversement. Les états-majors l’ont aujourd’hui bien compris et se saisissent de cette guerre des récits faite d’armes immatérielles pour intimider des ennemis, rassurer ou galvaniser des opinions publiques chauffées à blanc par le flot d’images reçues sur les réseaux sociaux.

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Après la mort de Nasrallah, quelle stratégie régionale pour l’Iran ?

Date de publication
29 septembre 2024
Accroche

Hassan Nasrallah, secrétaire général du Hezbollah, a été tué dans une frappe israélienne à Beyrouth le 27 septembre. La milice et son dirigeant étaient considérés comme le fer de lance de l’Axe de la Résistance, cette coalition de groupes miliciens majoritairement chiites qui sont au coeur de la stratégie régionale de l’Iran. 

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Devenir secrétaire général de l'OTAN. Entre critères objectifs, coutumes et homogénéité

Date de publication
26 septembre 2024
Accroche

Après dix ans à la tête de l’OTAN de 2014 à 2024, un record de longévité dû au contexte particulier de la guerre en Ukraine, le Norvégien Jens Stoltenberg quitte ses fonctions de secrétaire général. Son successeur, choisi par les chefs d’État et de gouvernement des États membres, sera Mark Rutte, Premier ministre des Pays-Bas pendant près de quatorze ans. Cette nomination invite à questionner les critères et les logiques de sélection des secrétaires généraux, alors que de nombreuses études démontrent l’importance significative du secrétariat international et le rôle croissant du secrétaire général dans le fonctionnement interne de l’Alliance. 

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EUDIS, HEDI, DIANA : que se cache-t-il derrière trois acronymes de l'innovation de défense ?

Date de publication
25 septembre 2024
Accroche

En Europe, alors que la guerre d'agression de la Russie contre l'Ukraine montre peu de signes d'apaisement, un écart persistant subsiste entre les besoins en matière de sécurité et les dépenses de défense. Conformément à un engagement de 2006, inscrit lors du sommet de l'OTAN au Pays de Galles en 2014, les membres de l'Organisation du traité de l'Atlantique Nord (OTAN) doivent consacrer au moins 2 % de leur produit intérieur brut (PIB) national à la défense, dont 20 % doivent être investis dans l'équipement ainsi que la recherche et le développement. En 2024, seuls 23 Alliés sur 32 devraient atteindre ou dépasser cet objectif, bien qu'il s'agisse d'une amélioration notable par rapport aux trois pays en 2014. Ce total inclut les États-Unis (US), qui consacrent 3,38 % de leur PIB à la défense, représentant près de 70 % de l'ensemble des dépenses de défense des membres de l'OTAN.

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Rencontre entre Rafael Grossi, directeur de l’AIEA, et Mohamed Eslami, vice-président iranien et directeur de l’Organisation iranienne de l’énergie atomique, 66e conférence de l’AIEA, Vienne, septembre 2022
Dean Calma / IAEA

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L'impasse nucléaire iranienne : la non-prolifération au défi de crises multiples. L'impact de la guerre en Ukraine et des manifestations sur le retour au JCPOA, de L'Ifri par
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L'impasse nucléaire iranienne : la non-prolifération au défi de crises multiples. L'impact de la guerre en Ukraine et des manifestations sur le retour au JCPOA