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Élections régionales en Allemagne

14 mars 2016
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Au lendemain des élections régionales allemandes, le parti d'extrême droite Alternative pour l'Allemagne (AfD) sort en grand vainqueur en réalisant  une percée symbolique dans le paysage politique allemand. C'est un échec pour la CDU (Union-chrétienne démocrate), parti de lachancelière Angela Merkel, qui doit faire face depuis quelques temps à des contestations vis à vis de sa politique migratoire. Depuis 2015, l'Allemagne a accueilli près d'un million de migrants.Ces élections seraient-elles le reflet de la débâcle du parti d'Angela Merkel, fragilisé par sa gestion de la crise des migrants ?

L'AfD (Alternative für Deutschland), jeune parti dirigé par Frauke Petry a obtenu entre 10 et 23% des voix lors des trois scrutins pour les parlements régionaux de Bade-Wurtemberg, de Rhénanie-Palatinat et de Saxe-Anhalt constituant un véritable succès pour le parti d'extrême droite.

Pour commenter le résultat des élections régionales allemandes, l'invité de Nicolas Demorandest le chercheur à l'IFRI, Hans Stark.

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Élections: "La droite populiste allemande s'implante aussi à l'Ouest"

14 mars 2016
Accroche

Les résultats de l'Alternative pour l'Allemagne (AfD) lors des trois élections régionales de dimanche démontrent que la montée de la droite populiste n'est plus un phénomène cantonné à l'ex-Allemagne de l'Est. L'analyse de Nele Wissmann, de l'IFRI.

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Elections en Allemagne : "L'AFD, c'est un peu le Front national version Marine Le Pen"

14 mars 2016
Accroche

Barbara Kunz, chercheuse au Comité d'études des relations franco-allemandes (Cerfa) de l’Institut français des relations internationales (Ifri), a commenté lundi midi sur France Info l'entrée du parti d'extrême droite AFD dans trois parlements régionaux en Allemagne.

"Il fallait s'y attendre, a-t-elle confié. C'est un peu un processus de normalisation européenne. L'AFD, c'est un peu le Front national version Marine Le Pen. C'est un parti classique populiste de droite."

"L'électorat, c'est d'abord des gens qui ne votaient pas avant. Une majorité d'hommes, une majorité de chômeurs, analyse la chercheuse. L'AFD attire surtout des électeurs qui sont à la marge de la société. Un vote pour l'AFD, c'est un vote protestataire. On se retrouve avec un parti anti-système qui récupère un peu tous les déçus."

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Elections régionales en Allemagne

13 mars 2016
Accroche

Ce dimanche 13 millions d’allemands sont appelés à voter, un test pour Angela Merkel, 18 mois avant l’élection générale. Trois Etats-régions sont concernés le Bade-Wurtemberg, la Rhénanie-Palatinat et la Saxe-Anhalt.

Quels seront les enjeux de ce vote, et pour Merkel, et pour notre relation franco-allemande et pour l’Europe alors que  la question des migrants a largement occupé les discours de Mme Merkel et divise toujours le pays.

Pierre Weill reçoit Nele Wissmann chercheuse au Comité d’études des relations franco-allemandes (Cerfa) de l’Institut français des relations internationales.

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« Merkel peut-elle perdre le pouvoir à cause des réfugiés ? »

13 mars 2016
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La Chancelière est en train de perdre le soutien des politiques allemandes et la confiance de ses compatriotes.

Analyse et interprétation avec Hans Stark, secrétaire général du Comité d'études des relations franco-allemandes / IFRI

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Merkel et les réfugiés : la sanction politique

12 mars 2016
Accroche

Elections régionales en Allemagne, comment la crise des réfugiés pèse-t-elle sur la situation politique ? Quels enjeux pour Angela Merkel ?

avec 

Hans Stark, Secrétaire général du Cerfa/Ifri, Professeur à l'Université Paris-Sorbonne

Daniela Schwarzer, Directrice du programme Europe au German Marshall Fund en direct de Berlin

Claire Demesmay, Directrice du programme franco-allemand à l'Institut allemand de politique étrangère (DGAP - Deutsche Gesellschaft für Auswärtige Politik) au téléphone depuis Berlin

Stefan Seidendorf, Directeur des études européennes à l'Institut franco-allemand de Ludwigsburg 

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Allemagne: les déboutés du droit d’asile expulsés

02 mars 2016
Accroche

Après avoir largement ouvert ses frontières aux migrants et accueilli des dizaines de milliers de personnes, l'Allemagne cherche désormais à réduire le flux migratoire et à renvoyer rapidement chez eux tous ceux qui n’ont pu obtenir le droit d'asile. À quelques mois des élections régionales, les autorités veulent convaincre que la situation est sous contrôle.

De la question allemande à la question européenne

Date de publication
02 mars 2016
Accroche

Assiste-t-on au retour d'une « question allemande » qu'on croyait avoir enterrée avec l'unification ? Si cette « question allemande » a de profondes racines historiques, son retour marque surtout une crise européenne : fractures économiques, blocage des institutions, effacement relatif de la France et de la Grande-Bretagne des grands débats de l'Union. Seule une avancée de l'intégration européenne pourrait renvoyer l'Allemagne à une normalité dont elle ne cherche pas vraiment à s'extraire.

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Migrations en Afrique : un regard neuf. Politique étrangère, n° 1, printemps 2016

Date de publication
02 mars 2016
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Les déplacements des Africains concernent massivement…l’Afrique seule. Se préoccuper des migrations internationales, c’est donc porter le regard bien au-delà des conjonctures européennes. Ce numéro de Politique étrangère s’y attache, tentant de décrire (dans son dossier Migrations en Afrique : un regard neuf) les déterminants multiples des mouvements migratoires, les tentatives des États du continent noir pour gérer le problème majeur des déplacés internes, les difficultés d’intégration des migrants du travail dans les sociétés d’accueil, ou les faux-semblants des accords euro-africains de réadmission…

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Allemagne, le défi de l'intégration

19 février 2016
Accroche

D’abord il y a eu l’euphorie de ces jours de septembre, où l’Allemagne ouvrait grand ses bras aux nouveaux arrivants. Les images de la gare de Münich – cette joie d’une nation se perçoit comme accueillante, généreuse, en train d’accomplir un devoir moral d’humanité, envers ceux qui souffrent - en l’occurrence de la guerre.

Cinq mois après, c’est le doute qui a saisi l’Allemagne – alors qu’elle pensait attirer massivement des migrants sur-diplomés, futurs médecins, avocats, cadres … des études récentes ont montré qu’une grande partie des arrivants est très faiblement qualifiée sinon illettrée. Le patronat commence dire qu’il lui faudra des années pour former ces demandeurs d’asile.

A quoi s’ajoute le traumatisme de Cologne : après cette nuit du Nouvel an, 450 plaintes pour agressions sexuelles ont été déposées. Peu importe … si l’essentiels des 58 suspects sont des immigrés Algériens, Marocains fixés depuis longtemps dans la région, seuls trois nouveaux arrivants syriens ont été arrêtés. Mais pour l’opinion public ce sont bien les réfugiés de Merkel … qui sont responsables de ces violences et de ce comportement inadmissible dans un pays occidental.

Et puis il y a le coût de l’intégration à venir, 50 milliards d’euros sur 2 ans. Même pays sans chômage et avec un excédent budgétaire record n’est pas sûr de pouvoir encaisser le choc. Fin janvier, la Bild am Sonntag, titrait «est-elle toujours celle qu’il nous fait ? » en parlant de la Chancelière – dont la coalition tangue. « J’ai vécu trop longtemps derrière une clôture pour ne pas en vouloir à nouveau » rétorque Angela Merkel cette fille de l’Est – du rideau de fer, persuadée qu’elle fait le bon choix.

Nele Wissmann revient sur la politique d'intégration de l'Allemagne. 

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