Rechercher sur Ifri.org

Recherches fréquentes

Suggestions

Tout voir
Presse
Logo
capture_logo_28minutes_12_2015.jpg
Image principale médiatique

Sommet de l'OTAN : Trump peut-il briser l’Europe ?

11 juillet 2018
Accroche

Ce mercredi 11 juillet se tient le deuxième jour du sommet de l’OTAN. Les relations entre les États-Unis et l’Europe n’ont jamais été aussi tendues. Donald Trump l’a rappelé à plusieurs reprises : les alliés ne payent pas suffisamment pour assurer leur défense et cela, au détriment de l’Amérique. Outre les dépenses de l’alliance transatlantique, les dossiers de contentieux se multiplient.

Logo
opinion_logo.png
Image principale médiatique

Sommet Kim-Trump : « La Chine demeure un acteur incontournable »

11 juin 2018
Accroche

Pour Alice Ekman, responsable des activités Chine au centre Asie de l’Institut français des relations internationales (Ifri), rien n’aboutira dans la péninsule sans la participation de Pékin

Logo
franceinfo.jpg
Image principale médiatique

G7 : pour Donald Trump, "la négociation est un sport de combat", "c'est vraiment une partie de poker"

10 juin 2018
Accroche

Selon Laurence Nardon, responsable du programme Etats-Unis à l'Institut français des relations internationale, Donald Trump est "pragmatique" et "s'il voit que les Européens et le Canada tiennent bon face à lui, il finira par céder". 

Logo
ny_times.jpg

Escalating Clash With Canada, Trump Is Isolated Before North Korea Meeting

10 juin 2018
Accroche

WASHINGTON — President Trump escalated a bitter clash with some of America’s closest allies on Sunday, lashing out through his advisers at Canada’s prime minister in unusually personal terms and leaving himself with a diplomatic crisis as he arrived in Asia to negotiate a nuclear agreement with North Korea.

Logo
France Culture
Image principale médiatique

Trump et la Corée du Nord

09 juin 2018
Accroche

Quel est l'objectif de la rencontre entre Donald Trump et Kim Jong-un qui aura lieu ce mardi 12 juin? Quels critères vont déterminer son succès ou, au contraire, son échec? Quelles seront les conséquences régionales, et les attentes des voisins japonais, chinois, taïwanais et russe?

Logo
bfmtv.jpg
Image principale médiatique

G6+1, peut-on se passer de Donald Trump ?

08 juin 2018
Accroche

Le président des Etats-Unis est arrivé ce vendredi à La Malbaie (Canada) pour le sommet du G7. Donald Trump a engagé dans un bras de fer avec les autres chefs d'Etat, notamment sur la question de la taxe sur l'acier et l'aluminium. On en parle avec: Laurence Nardon, responsable du programme Etats-Unis de l'Institut français des relations internationales (IFRI). Paolo Levi, journaliste et correspondant à Paris pour l'agence de presse italienne Ansa, Ulysse Gosset, éditorialiste politique étrangère de BFMTV et Christophe Barbier, éditorialiste politique BFMTV.

Logo
France Culture
Image principale médiatique

Les relations transatlantiques

02 juin 2018
Accroche

Après le retrait unilatéral des Etats Unis de l'accord sur le nucléaire iranien, en dépit des alliés européens, comment vont évoluer les relations transatlantiques? Le caractère extra-territorial du droit américain découle-t-il de la puissance militaire du pays?

Logo
logo_figaro.jpg
Image principale médiatique

Thierry de Montbrial : « La France et la Russie ont besoin l'une de l'autre »

25 mai 2018
Accroche

ENTRETIEN - Rencontre entre Macron et Poutine, Israël, nucléaire iranien, Corée du Nord… le président fondateur de l'Institut français des relations internationales (Ifri) analyse les enjeux diplomatiques du moment.

Logo
logo_la_croix.png

La France cherche des « points d'accord » en Russie

24 mai 2018
Accroche

Depuis un an, le président français Emmanuel Macron a essayé de donner une nouvelle impulsion à la relation avec Vladimir Poutine. Sans taire les divergences sur l'Ukraine et la Syrie.

Logo
logo-reforme-journal_petit.jpg
Image principale médiatique

Le prix Nobel de la paix pour Donald Trump ?

16 mai 2018
Accroche

Donald Trump a été proposé pour le prix Nobel de la paix pour son rôle dans le traitement de la crise nucléaire avec la Corée du Nord.

Logo
le_figaro.png
Image principale médiatique

Trump face à Moscou, éviter le manichéisme

20 janvier 2017
Accroche

Le bras de fer qui oppose Washington et Moscou en matière de cyberespace ne peut se comprendre qu'à la lumière de l'histoire des vingt dernières années, explique le directeur de l'Institut françaisdes relations internationales.

Logo
lemondeafrique.jpeg
Image principale médiatique

Au moins un proche de Donald Trump connaît l’Afrique… celle des champs de pétrole

19 janvier 2017
Accroche

Le futur secrétaire d’Etat Rex Tillerson, ex-patron d’ExxonMobil, a son réseau dans l’Afrique « utile » : Nigeria, Libye, Angola, Tchad et Mozambique.

Logo
obama_trump.jpg

D'Obama à Trump

14 janvier 2017
Accroche

Obama fait ses adieux et Trump son entrée en fonction. D'un côté le bilan, après 2 mandats à la tête des Etats-Unis, de l'autre les attentes et les craintes pour l'investiture, le 20 janvier. Pourquoi Obama et Trump ont-ils voulu apparaître comme des candidats de la rupture avec l'ordre ancien ?

Logo
logo-public-senat.png
Image principale médiatique

Quelles prévisions pour le monde en 2017 ?

13 janvier 2017
Accroche

2016 a vu la victoire inattendue de Donald Trump, la montée de Vladimir Poutine, le flou du Brexit, et l'affaiblissement de l'Europe. A quoi vont ressembler 2017 et les années à suivre ? Est-ce que l'année 2017 représente une date spéciale pour la Chine ou une simple étape dans son cheminement ? 

Image principale médiatique

"Il est dans la culture de l’establishment russe d’avoir des dossiers compromettants"

11 janvier 2017
Accroche

La Russie serait en possession d’éléments compromettants, financiers et personnels, sur Donald Trump. On ne sait pas encore si ces documents sont authentifiés mais est-ce, selon vous, plausible ?

Il est tout à fait logique de supposer que la Russie prépare des dossiers compromettants sur différentes personnalités, en faisant l’arbitrage par la suite entre les dossiers qu’elle utilisera et ceux dont elle ne fera rien. Il est dans la culture de l’establishment russe d’avoir des dossiers compromettants, on les appelle les “kompromat”. Comme on dit en Russie, tout le monde détient des “kompromat” contre tout le monde.

À quelles fins Vladimir Poutine pourrait-il avoir besoin d’un dossier sur Donald Trump ?

En l’état actuel des choses, il n’en a pas besoin. L’élection de Trump est vue comme une bonne chose pour la Russie. Les “kompromat”, dans la pratique russe, ne sont pas préparés pour utilisation immédiate. Ils sont mis dans un placard jusqu’au jour où l’on en aura besoin. Leur utilisation peut être aussi inattendue et anecdotique. Vladimir Poutine aurait fait venir un chien dans la pièce où il rencontrait Angela Merkel pour lui faire peur, sachant pertinemment qu’elle craignait ces animaux : cela figurait dans ses dossiers secrets.

En quoi l’élection de Donald Trump sert-elle les Russes, selon eux ?

Hillary Clinton est assez prévisible, pour Moscou. Elle et Vladimir Poutine se connaissent, on sait très bien quel est l’état de leurs relations : elles ont été émaillées d’incidents, dont un assez misogyne. Les deux dirigeants ne se vouent pas un amour immodéré. Face à cela, l’incertitude autour de Donald Trump, qui a eu des déclarations flatteuses vis-à-vis de Vladimir Poutine, a été interprétée en sa faveur. La Russie souhaitait sa victoire et, en même temps, donnait l’impression de ne pas y croire. Les propagandistes avaient préparé les discours, dans lesquels ils faisaient valoir que l’establishment américain avait tout fait pour voler l’élection de Donald Trump. Or, il a été élu, ce qui a constitué une surprise. Paradoxalement, la victoire de ce candidat, qui n’est pas issu de l’establishment, qui défend les classes moyennes contre l’élite corrompue, correspond au discours des opposants au régime de Vladimir Poutine. Sera-t-il un bon exemple ou jouera-t-il contre lui ? Il y a aujourd’hui beaucoup d’incertitudes. Les premiers pas compteront beaucoup, après des débuts extrêmement houleux, avec les scandales liés aux cyberattaques ou aux dossiers compromettants. Beaucoup va dépendre de la première rencontre entre les deux hommes.

La Russie en attend une baisse de l’activisme américain sur la scène internationale, qui lui donnerait plus de marge de manœuvre. En même temps, elle espère montrer au monde entier ce que vaut la démocratie américaine et qu’il ne faut pas l’exporter. L’objectif à atteindre est double.

Comment a-t-on accueilli, à Moscou, la nomination à la tête de la diplomatie de Rex Tillerson (qui a été décoré de l’ordre de l’Amitié par Vladimir Poutine en 2012), puis celle au renseignement national de Dan Coats (qui est interdit de séjour en Russie depuis 2014) ?

L’équipe de Trump n’a rien de cohérent, elle compte des gens de bords presque opposés par rapport à la Russie. On verra aussi quelle sera la réaction du parti républicain qui n’est pas du tout prorusse ; Trump n’est pas indépendant du parti. Sa politique ne s’inscrira pas dans les extrêmes, ni dans un sens ni dans l’autre, selon moi. Comment l’équilibre se fera-t-il ? On ne sait pas encore. Les réactions face à ces nominations sont en tout cas plus que retenues. Les Russes ne veulent pas du tout alimenter la thèse selon laquelle ils se sont ingérés dans les élections américaines. Si cela a été fait, cela a été fait, pas la peine de pousser plus loin. Le mieux est de se tenir à l’écart. Ils risqueraient de mettre en danger Donald Trump s’ils faisaient des déclarations spectaculaires qui pourraient porter atteinte à sa légitimité.

Quelles sont les attentes plus spécifiques de la Russie vis-à-vis des Etats-Unis dans les dossiers internationaux ?

Sur le dossier ukrainien, les Russes s’attendent à ce que Donald Trump mette la pression sur Kiev pour qu’il respecte les accords de Minsk. Sur la Syrie, ils escomptent une coopération plus renforcée dans la lutte contre Daech. Donald Trump a aussi fait des déclarations qui ne peuvent que plaire aux Russes sur la remise en question de l’utilité de l’Otan, qui est une de leurs bêtes noires. Même si le nouveau président ne démantèlera pas l’Alliance, la solidarité transatlantique, avec les nouveaux membres qui ont une histoire liée viscéralement à la peur de la Russie – je parle de la Pologne et des Etats baltes – en sortira affaiblie. Et cela ne peut qu’aller dans le sens des intérêts russes. Moscou nourrit également des attentes liées à l’abandon du Partenariat transatlantique de commerce et d’investissement (TTIP), entre l’Europe et les Etats-Unis, qui laisse la Russie à la marge de la nouvelle répartition du monde.

À quelles confrontations pourrait-on s’attendre ?

Les deux précédentes administrations, de George W. Bush et de Barack Obama, ont tenté de faire un “reset” avec la Russie, mais on en revenait quand même à la confrontation. Je n’exclus pas qu’après des débuts prometteurs, on retombe dans une confrontation entre les deux pays au milieu ou à la fin du premier mandat. En tout cas, si Donald Trump fait ce qu’il a dit, la Russie devra redéfinir sa politique étrangère, qui a été beaucoup basée sur l’opposition aux Etats-Unis, sur la présentation d’un pôle alternatif au monde sous domination américaine. Au Moyen-Orient, l’Iran est allié de la Russie. Or, Trump a dit vouloir revoir l’accord sur le nucléaire. Quel positionnement pour Vladimir Poutine si son homologue va jusqu’au bout ? Donald Trump a l’air aussi plus obsédé par la Chine que par la Russie. Quelle place, dès lors, la Russie pourrait-elle trouver entre ces deux grands, elle qui ne représente qu’un peu plus de 2 % de la richesse mondiale ? Le roi ne sera-t-il pas finalement nu, ramené à sa juste valeur par une confrontation qui se dessine et qui le laissera à la marge ? La Russie ne sera-t-elle pas poussée à choisir son camp ? Lequel ? Cela risque d’être un moment de flottement pour elle.

Vladimir Poutine, qui a souffert d’un manque de considération de la part des Etats-Unis, met tout en œuvre pour réaffirmer sa grandeur. Donald Trump a promis de rendre l’Amérique “great again”. Y a-t-il de la place pour ces deux ambitions ?

La compréhension de la grandeur est très différente de part et d’autre. Pour les Russes, il s’agit de s’imposer sur les dossiers internationaux, tandis que, pour Trump, il est plutôt question d’isolationnisme et de rendre le pays grand en interne, en mettant l’accent sur la production, sur la fin des délocalisations, sur les moyens de rendre leur fierté aux classes moyennes. Cela ne correspond pas du tout à la compréhension russe de la grandeur. Il y a donc de la place pour les deux ego, en quelque sorte. Les deux “exceptionnalismes”, russe et américain, pourront coexister si l’Amérique se concentre plus sur elle-même. Mais si les Etats-Unis voient que la Russie commence à grappiller du terrain sur tous les dossiers et que, à un moment et à un autre, cela va à l’encontre de leurs intérêts, ils réagiront.

Logo
logo_france_culture.jpeg
Image principale médiatique

Trump: les hommes du président

15 décembre 2016
Accroche

La surprise de l'élection de Donald Trump en cache une autre : la composition de sa future administration. A en juger par les personnalités choisies, le gouvernement Trump ressemblera à son président : masculin, blanc, sexagénaire, riche, sans expérience politique, proche de la finance et de l’industrie américaine et perclus de conflits d’intérêts avec des Etats étrangers.

Logo
France Inter
Image principale médiatique

"L'administration Obama a une responsabilité terrible dans ce qu'il se passe en Syrie"

14 décembre 2016
Accroche

Alors que l'ambassadrice américaine à l'ONU, Samantha Power, a tiré la sonnette d'alarme au Conseil de sécurité mardi soir quant à la situation humanitaire à Alep, des questions fondamentales se posent sur l'avenir de la crise syrienne et du Moyen-Orient au moment où Donald Trump pose les bases de sa future administration. Le tropisme russe du président-élu changera-t-il la donne en Syrie ?

Logo
logos_france24_rvb_2013.svg_.png
Image principale médiatique

États-Unis, Chine : Trump voit double, Pékin voit rouge

12 décembre 2016
Accroche

Le président américain élu est sur le point de provoquer une véritable crise diplomatique avec Pékin. Donald Trump a en effet remis en cause l'unicité de la Chine en laissant entendre qu'il pourrait reconnaître Taiwan... S'agit-il d'un tournant diplomatique dans les relations entre les deux pays ?

Logo
rfi_logo.png

"Juridiquement, rien n'empêche les grands électeurs de ne pas voter pour Trump"

07 décembre 2016
Accroche

L'onde de choc provoquée par l'élection de Donald Trump semble gagner en puissance, au point de soulever des questions fondamentales de droit constitutionnel et de science politique. En effet, à moins de deux semaines du vote du collège électoral, plusieurs grands électeurs républicains ont annoncé leur défection et leur refus, à contre-courant de la pratique politique traditionnelle, de voter pour le président-élu. Si cela ne suffira probablement pas à faire invalider l'élection du milliardaire, ce nouveau rebondissement pourrait ébranler durablement le statu quo de la politique en Amérique.

Logo
NEW_logo_lexpress.png

Avec la Chine, Donald Trump a opté pour l'imprévisibilité

05 décembre 2016
Accroche

En un coup de téléphone et quelques tweets, Donald Trump a confirmé qu'il comptait se lancer dans un bras de fer avec la Chine, qu'il accuse depuis longtemps de profiter des Etats-Unis.

Soutenez une recherche française indépendante

L'Ifri, fondation reconnue d'utilité publique, s'appuie en grande partie sur des donateurs privés – entreprises et particuliers – pour garantir sa pérennité et son indépendance intellectuelle. Par leur financement, les donateurs contribuent à maintenir la position de l’Institut parmi les principaux think tanks mondiaux. En bénéficiant d’un réseau et d’un savoir-faire reconnus à l’international, les donateurs affinent leur compréhension du risque géopolitique et ses conséquences sur la politique et l’économie mondiales. En 2024, l’Ifri accompagne plus de 70 entreprises et organisations françaises et étrangères.

Conférence Ramses 2024