Malgré son formidable potentiel, le secteur énergétique brésilien est confronté à d’énormes défis. Sont notamment abordés dans cette note les raisons du retard dans l'exploitation du pré-sal, le déficit d’investissement dans le secteur du gaz, les limites du développement de l’éthanol, les...
Géopolitique des énergies fossiles
L'axe de recherche Géopolitique des énergies fossiles au sein du centre Énergie & Climat de l'Ifri analyse les tendances géopolitiques mondiales des marchés pétrolier, gazier et charbonnier. Une attention particulière est portée aux enjeux de sécurité d’approvisionnement énergétique et au développement des ressources d’hydrocarbures non conventionnels, ainsi qu’à l’évolution de la demande dans les pays émergents.
Directeur du Centre Énergie & Climat de l'Ifri
...Conseiller, Centre Énergie & Climat de l'Ifri
...Chercheur associé, Centre Afrique Subsaharienne / Centre Énergie & Climat de l'Ifri
...Chercheur associé, Centre Énergie & Climat de l'Ifri
...Déjà en novembre 2013, nous alertions sur les fragilités du secteur des hydrocarbures en Algérie1, secteur pourtant capital pour l'économie du pays.
La Méditerranée Orientale a fait son apparition sur la carte des grandes régions gazières avec la découverte du gisement de Tamar en 2009. Bien que le volume de gaz découvert n'en fasse pas un "game changer" au niveau mondial, les ressources potentielles pourraient malgré tout booster les...
Publié par Cligendael International Energy Program (CIEP) et l'Institut français des relations internationales (Ifri)
Published by Clingendael International Energy Program (CIEP)
Publié par l'Institut francais des relations internationales (Ifri)
Publié par Clingendael International Energy Program (CIEP) et l'Institut français des relations internationales (Ifri)
Alors que les ambitions climatiques se précisent, des interrogations émergent sur la résilience du secteur des énergies fossiles dans un monde qui s’engagerait pleinement en faveur de la protection du climat. Cet article entend explorer l’étendue du risque en présence et...
L'appétit des pétroliers pour l'Afrique de l'Est a bien changé depuis 2006, où les premières découvertes en Ouganda ont été mises au jour. Il reste cependant encore difficile, pour un grand nombre d'investisseurs qui s'intéressent à cette région, d'appréhender l'ampleur du phénomène.
L’histoire ne finit pas de se répéter : 1986, 1998, 2009 et 2014, des années qui ont vu plonger les cours du brut provoquant des crises économiques et sociales dans les pays producteurs de pétrole.
Jusque-là, la Russie a livré près de 40 % du gaz consommé par les Vingt-Sept. Loin devant les autres fournisseurs, la Norvège, l’Algérie ou les Etats-Unis. Le scénario d’une suppression totale des livraisons russes paraît peu plausible.
Le baril de Brent de mer du Nord a dépassé les 100 dollars, ce qui n’était pas arrivé depuis 2014. Soit une hausse de 8 %. Le conflit en Ukraine accélère « le choc pétrolier rampant », constaté depuis un an.
Le cours baril de pétrole a franchi la barre des 100 dollars, tandis que le prix du gaz se rapproche de son record historique, franchi en décembre dernier.
Dans la nuit de ce mardi, le conflit entre la Russie et l'Ukraine a franchi une nouvelle étape avec la reconnaissance par Vladimir Poutine de l’indépendance des républiques russophones du Donbass et l’entrée de troupes russes sur ces territoires.
Pour sortir du piège russe, quels sont les fournisseurs sur lesquels les Européens pourraient s’appuyer davantage ?
En dépit du bon sens, la production mondiale d'électricité et industrielle à partir de charbon a atteint un nouveau record en 2021. A l'évidence le système n'est pas près de s'en passer.
Les importations de gaz naturel liquéfié (GNL) ont bondi de plus d’un quart en Europe en 2021. Notamment issu de gaz de schiste américain, il pourrait remplacer une partie du gaz russe. Un sommet entre les États-Unis et l’Europe sur la sécurité énergétique doit se tenir ce lundi 7 février...
Le directeur du centre énergie & climat de l’Institut français des relations internationales, Marc-Antoine Eyl-Mazzega, estime que le monde n’est pas sorti du fossile. Il y a urgence, selon lui, à s’attaquer au charbon, au méthane, et à protéger les forêts et les océans.
Depuis quelques semaines, les Etats-Unis ont accéléré leurs livraisons de gaz naturel liquéfié, et l’UE multiplie les contacts pour diversifier ses approvisionnements, par crainte de mesures de rétorsion de Moscou.
DÉCRYPTAGE - Si la Russie stoppe ses livraisons, les alternatives seront insuffisantes et coûteuses.