Course à l’espace : entre accélération chinoise et perte de vitesse russe Visioconférence réservée aux membres
Depuis trois décennies, la gouvernance du secteur spatial en Russie se recompose alors que son programme conserve une position incontournable au niveau international par le biais de ses lanceurs Soyuz-2.
Avec l’arrivée de nouveaux acteurs étatiques et non-étatiques, de nouvelles logiques économiques se déploient qui remettent en question la place historique de la Russie dans le cercle des puissances spatiales. A l’aune de ces défis protéiformes, quels sont les atouts et les faiblesses de son programme ?
La République populaire de Chine (RPC), pour sa part, est aujourd’hui une puissance spatiale complète disposant d’un accès autonome à l’espace extra-atmosphérique et à l’exploration de l’espace lointain. Comment le programme spatial chinois s’inscrit-il dans les ambitions politiques de la Chine et comment cela se traduit-il dans la compétition entre les grandes puissances sur Terre ?
Autour de :
Florian Vidal, chercheur au centre Russie/NEI de l'Ifri
Marc Julienne, chercheur, responsable des activités Chine au Centre Asie de l'Ifri
Modération :
Marc Hecker, directeur de la recherche et de la valorisation de l'Ifri
Pour plus d'informations sur le débat, veuillez contacter Barbara Delansoy, chargée des relations avec les membres individuels : delansoy@ifri.org
Après plus de 60 ans de recherche et d’innovation erratiques, la République populaire de Chine (RPC) est aujourd’hui une puissance spatiale complète, disposant d’un accès autonome à l’espace extra-atmosphérique et à l’exploration de l’espace lointain.
Avec l’avènement du New Space, la Russie est engagée dans une course contre la montre pour préserver l’un de ses principaux atouts industriels.