
L'Europe : le retour des djihadistes
Promesse tenue : la Turquie a commencé à renvoyer les djihadistes occidentaux dans leur pays d'origine. La France s'apprête à accueillir onze d'entre eux. Comment organiser leur retour ainsi que celui de leur famille ?
Qui sont les djihadistes de France ?
En novembre 2018, Marc Hecker a participé aux premiers "états généraux psy sur la radicalisation". L'ouvrage Etats de la radicalisation (Seuil, 2019) regroupe les contributions des différents intervenants.

Syrie : la France s’inquiète de la capacité des Kurdes à retenir les djihadistes
L’annonce initiale d’un retrait américain du nord-est de la Syrie a pris Paris de court. Pour le Quai d’Orsay, le maintien des membres étrangers de l’EI sous la garde des autorités locales est « impératif ».
L'épineuse question du retour des djihadistes en Europe
Le nombre d’Européens ayant rejoint la zone syro-irakienne oscille entre 5 000 et 6 000. Parmi ceux-là, entre 1 500 et 1 800 seraient revenus. Trois pays européens dépassent le seuil des 300 "revenants" : le Royaume-Uni, la France et l’Allemagne.
«Il n’y a pas de solution miracle pour juger les djihadistes français»
Marc Hecker, spécialiste des questions de terrorisme à l’Institut Français des Relations Internationales (IFRI), évoque le sort des 1.300 Français partis combattre dans les rangs de Daech, dont 400 seulement sont revenus.
Comment améliorer la lutte contre le djihadisme au Sahel ?
Jadis un sanctuaire, le Burkina Faso, où les forces spéciales françaises ont libéré quatre otages vendredi 10 mai, est devenu un grand carrefour des groupes djihadistes qui y opèrent avec une facilité déconcertante. Les régions du nord et de l’est du pays, proches du nord du Mali, sont devenues d’immenses no man’s land. Pour combattre l’extension du djihadisme, les pays du Sahel - Burkina Faso, Mali, Mauritanie, Niger et Tchad - se sont réunis au sein d'un G5.
L’Etat islamique peut-il “poursuivre la bataille” sans territoire ?
Ce lundi 29 avril, le leader de l'Etat islamique, Abou Bakr al-Baghdadi, est apparu pour la première fois en cinq ans dans une vidéo diffusée par l'organisation. Si Daech ne contrôle plus aucun territoire en Syrie et en Irak, comment le groupe se réorganise-t-il ?

Daech est-il en voie d'expansion en Afrique ?
Le groupe État islamique a revendiqué ce 18 avril 2019 une attaque dans l’est de la RDC, à la frontière avec l’Ouganda. Une première sur le sol congolais. Une revendication surprenante pour Thierry Vircoulon, spécialiste des questions de sécurité en Afrique subsaharienne. Et si sur le continent, Daech n'était qu'une simple franchise pour toute contestation religieuse armée en manque de visibilité, comme le groupe État islamique en Afrique de l'Ouest ? Entretien.
Fin de l'Etat islamique en Syrie : la question du retour des djihadistes et de leurs familles
La question du retour des djihadistes européens et de leurs familles se pose après la chute annoncée du "califat" de l’État islamique en Syrie et en Irak.
Le chaos et après - 3 questions à Gilles Kepel
Interview de Gilles Kepel, directeur de la chaire Moyen-Orient Méditerranée à l'ENS, en marge de la conférence Ifri du 20 mars 2019.
Passage à l'acte : portrait robot des djihadiste
Marc Hecker est à l'origine de l'étude réalisée par l'Ifri. S'il refuse de parler de profil type, il dresse tout de même une sorte de portrait robot du djihadiste français.Il en a étudié 137, tous jugés par les tribunaux français.
Âge, sexe, origines sociales, scolarité, parcours professionnel... Une étude de l'Ifri dresse le profil type du jihadiste français
Dans une étude dévoilée mercredi 28 mars 2018 par France Info, un chercheur de l'Ifri a examiné les profils et les parcours de 137 personnes condamnées en France pour des faits de terrorisme.

INFOGRAPHIE - La connaissance des terroristes s’affine
Une nouvelle étude portant sur 137 personnes jugées pour terrorisme permet de dégager des « tendances lourdes » dans les profils et parcours des djihadistes.

Une étude dresse le portrait-robot des jihadistes français
Une enquête à paraître en avril a étudié le parcours de 137 personnes condamnées en France pour des faits de jihadisme. Ses conclusions battent en brèche l'image du "loup solitaire" rapidement radicalisé sur Internet.
Terrorisme : existe-t-il un profil type du jihadiste français ?
C'est une étude inédite de l'Ifri sur 137 terroristes passés à l'acte en France, des jihadistes condamnés ou tués. Ont-ils des caractéristiques communes ? Selon l'Ifri, l'âge moyen des terroristes est de 26 ans. 58% sont au chômage ou en emploi précaire et 40% d'entre eux sont issus d'un quartier défavorisé.

Une étude révèle les traits communs des 137 djihadistes condamnés en France
L'étude réalisée par Marc Hecker, directeur des publications de l'Ifri, se base sur les jugements de 137 individus condamnés dans des affaires de djihadisme.
Après Manchester, comment déjouer de nouveaux attentats ?
Deux mois après l'attaque de Londres qui avait fait 5 morts, l'attentat de Manchester survenu le soir du lundi 22 mai 2017 est le plus meurtrier au Royaume-Uni depuis la série d'attaques suicide qui avait fait 56 morts et 700 blessés dans la capitale britannique en juillet 2005.

Les déroutes de l’EI, une aubaine pour l’alliance AQMI/Al-Mourabitoune ?
Une étude de l’Ifri parue le 6 janvier révèle les dessous du ralliement d’Al-Mourabitoune, le groupe de Mokhtar Belmokhtar, à AQMI en décembre 2015. L’occasion de faire le point sur les différentes composantes de la mouvance jihadiste au Sahel.

« Belmokhtar est certainement aujourd'hui le cadre d'Al-Qaeda le plus influent du Sahel »
Dans une étude mise en ligne ce vendredi, le chercheur Marc Mémier revient sur l'organisation Al-Mourabitoune et la tectonique des groupes jihadistes actifs dans le Sahara.
Syrie : "Il y a à la fois une victoire et un affaiblissement de Bachar el-Assad"
Le régime de Bachar el-Assad est sur le point de reprendre la ville d'Alep, quelles en seront les conséquences ? Pour analyser la situation, Denis Bauchard, conseiller pour le Moyen-Orient à l'Ifri était invité de l'émission "On va plus loin", présentée par Sonia Mabrouk sur Public Sénat.
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