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Interventions médiatiques

Nos chercheurs interviennent dans le débat public et apportent leur lumière dans les médias français et internationaux. Retrouvez toutes leurs interventions médiatiques.

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Fidel Castro a "incarné la fierté cubaine" selon Philippe Moreau Defarges

26 novembre 2016
Accroche

Le père de la révolution cubaine, Fidel Castro, est mort vendredi soir à l'âge de 90 ans. Il a dirigé l'île de 1959 à 2006, avant de transférer le pouvoir à son frère, Raul Castro. Pendant des années, il a tenu tête aux Etats-Unis et incarné la fierté cubaine, selon Philippe Moreau Defarge, chercheur à l'IFRI et ancien diplomate, au micro de franceinfo.

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La stratégie énergétique de Trump se heurte au pragmatisme

23 novembre 2016
Accroche

Donald Trump s’est exprimé à plusieurs reprises sur les thématiques énergétiques lors de sa campagne. Relancer l’industrie charbonnière a été au centre de son plan énergétique pour l’Amérique, tout comme le gaz et le pétrole qu’il a opposés aux énergies renouvelables jugés bien trop chères. Un discours qui a fait mouche auprès d’une partie de l’électorat mais qui devrait rapidement se heurter au principe de réalité.

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La Conférence sur la gouvernance mondiale dénonce la vague d’isolationnisme

21 novembre 2016
Accroche

« Le temps n'est plus de rêver à une mondialisation naïve », met en garde le président de l'IFRI, à qui l'on doit la tenue de cette neuvième édition de la WPC au Qatar. Comme à l'accoutumée, c'est à l'élaboration d'un choix très diversifié de thèmes et de domaines que s'est attelé l'Institut français des relations internationales (IFRI), sous la houlette de son fondateur et président Thierry de Montbrial, en vue de préparer le programme de la 9e édition de la Conférence sur la gouvernance mondiale (World Policy Conference, WPC) qui s'est tenue cette année à l'hôtel Sheraton de Doha, au Qatar.

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"Avec un 4e mandat, Merkel entrerait aussi dans l'Histoire pour sa longévité"

21 novembre 2016
Accroche

Face au Brexit et à l'élection de Donald Trump, Angela Merkel a annoncé dimanche 20 novembre sa candidature pour un 4e mandat à la chancellerie. Quelles sont ses chances ? Quel soutien attendre des Allemands et de la part des partis politiques ? Serait-elle un rempart contre la montée du populisme en Europe ? Chercheuse à l’IFRI, allemande et spécialiste de la politique outre-Rhin, la politologue Barbara Kunz réagit à l’annonce de la candidature d'Angela Merkel.

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Trump versus COP22 : l’avenir des énergies vertes en question

21 novembre 2016
Accroche

Après les promesses de Trump de relancer l'industrie du charbon, quel avenir pour les énergies vertes ? A quel point, et à quelles conditions Donald Trump pourra-t-il détricoter l'accord de Paris sur le Climat ? Le marché du photovoltaïque, de l'éolien vont-ils directement pâtir de cette élection ?

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La politologue Barbara Kunz invitée du Heute journal

21 novembre 2016
Accroche

L'élection primaire des Républicains: décryptage par Barbara Kunz.

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Souveraineté numérique : que change la localisation de nos données

21 novembre 2016
Accroche

Depuis les révélations d'Edward Snowden sur la surveillance de nos données, la question de leur localisation est sur la table. Selon les pays, les promoteurs d'une souveraineté numérique y voient une manière de reprendre la main face aux États-Unis. Ou un instrument de contrôle et de censure.

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« Donald Trump est un "wake-up call" pour l'Europe »

18 novembre 2016
Accroche

Thierry de Montbrial ouvre dimanche 20 novembre la World Policy Conference, qui se tient pour trois jours à Doha. Elle rassemble 250 experts des relations internationales qui se retrouvent chaque année dans une ville différente.

 

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Xi Jinping va-t-il encore renforcer son pouvoir ?

18 novembre 2016
Accroche

Il est déjà considéré comme le dirigeant chinois le plus puissant depuis Deng Xiaoping et l'instigateur de la plus sévère campagne anti-corruption depuis Mao Zedong. Mais, dans les coulisses du pouvoir, Xi Jinping prépare déjà le XIXe congrès du Parti communiste chinois, qui doit se tenir fin 2017 et le reconduire pour cinq ans. 
 

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Russie. Guerre de l’information et contre-progagande

17 novembre 2016
Accroche

Depuis une décennie, la Russie a fait de l’information un instrument stratégique de sa politique étrangère. Elle a mis en place un puissant réseau officiel de médias. Pour contrer cette machine dite de "désinformation", des initiatives se développent dans l'Europe qui s'oppose à l'autoritarisme du Kremlin.

 

 

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Et la lumière fut

16 novembre 2016
Accroche

Plus d’un milliard d’humains sont aujourd’hui privés d’électricité. Or l’accès à l’énergie est un moteur de développement. C’est pourquoi les Nations unies ont fait de l’électrification universelle une grande cause planétaire. En attendant, dans les pays du Sud, on innove pour s’alimenter en courant régulier. 

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« L’élection de Trump est une heureuse surprise mais représente aussi une incertitude » aux yeux de Poutine

15 novembre 2016
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Thomas Gomart, directeur de l’Institut français des relations internationales, décrypte les jeux de pouvoir qui lient le président élu des Etats-Unis au président russe.
 
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On a très peu de visibilité sur le programme énergétique de Donald Trump

14 novembre 2016
Accroche

On sait que Donald Trump est pro-pétrole et pro-charbon et qu’il veut dénoncer l’Accord de Paris pour le climat. Mais de nombreuses inconnues demeurent quant à son programme énergétique pour les États-Unis, souligne Marie-Claire Aoun, directrice du Centre Énergie de l’IFRI, interrogée par le BIP.

Quelle politique énergétique peut-on attendre de Donald Trump qui succédera en janvier à Barack Obama à la présidence des États-Unis ?

Donald Trump a annoncé énormément de choses, notamment sur l'énergie, pas toujours cohérentes. On a peu de visibilité sur son programme, alors qu'Hillary Clinton aurait largement été dans la continuité d'Obama. On a beaucoup de mal à voir ce qu'il va mettre en place et à analyser les conséquences de son élection. Mais si l'on suit les signaux qu'il a donnés pendant sa campagne, ce n'est pas de bon augure pour la COP22. La principale « victime » de ce changement, ce sera l'environnement qui ne sera plus une priorité. ll va peut-être chercher à en faire un symbole avec le retrait des États-Unis de l'Accord de Paris. Au plan domestique, Obama, surtout pendant son dernier mandat, avait pris des mesures de réduction des émissions de CO2. Trump a annoncé qu'il allait détricoter tout cela mais, dans les faits, la politique environnementale américaine est menée bien plus au niveau des États qu'au niveau fédéral. Au plan fédéral, la grande mesure a été la prolongation en 2016 pour cinq ans du crédit d'impôt sur l'investissement dans le solaire et l'éolien.

L'Accord de Paris pour le climat, signé fin 2015 à la COP21, est entré en vigueur le 4 novembre. Quelles seraient les conséquences du retrait des États-Unis ?

L'article 28 de l'accord prévoit que le retrait n'est possible qu'après quatre ans en tout. Donald Trump ne pourra donc en sortir qu'en 2020, presque à la fin de son mandat. ll a déjà dit que les États-Unis ne participeraient plus aux financements climatiques. L'accord n'a été possible qu'avec le soutien des États-Unis et de la Chine. C'était plus un accord politique censé donner le signal pour que les investissements bas-carbone suivent. Si l'on perd le leadership américain, on risque de perdre cette impulsion politique et cela remet beaucoup de choses en question. ll va falloir trouver un nouveau leader. Les regards se tournent vers la Chine.

Donald Trump veut supprimer l'Agence de protection de l'environnement (EPA) et le Clean Power Plan en faveur d'une électricité décarbonée. Quelles seraient les conséquences ?

L'EPA est I'organisme de contrôle de la politique climatique au niveau fédéral. Sachant qu'il n'y aura plus de contre-pouvoir au Congrès, à majorité républicaine, Donald Trump va clairement essayer de déssaisir l'agence de ses prérogatives. ll va aussi essayer de détricoter le Clean Power Plan, déjà très mal en point. Mais l'analyse de l'IFRI a montré qu'il fallait plutôt voir ce programme comme venant confirmer la tendance de transition énergétique, qui est déjà là. C'était surtout censé apporter plus de stabilité réglementaire pour les acteurs.

Le président élu peut-il relancer le charbon, comme il l'a promis, alors que le gaz et les énergies renouvelables ont beaucoup progressé aux États-Unis ces dernières années ?

On ne s'attend pas a un virage complet en faveur du charbon parce que les fondamentaux économiques d'aujourd'hui penchent plus en faveur de la transition énergétique qu'il y a quelques années. Les politiques de transition énergétique mises en place aux États-Unis dernièrement s'appuyaient beaucoup sur les fondamentaux du marché qui ne vont pas changer. Or la politique de sortie progressive du charbon est liée au fait que le charbon a perdu en compétitivité face au gaz naturel, grâce au développement des gaz de schiste. Il y aura donc peut-être moins d'obligations au niveau politique mais, dans le fond, le système énergétique américain s'est déjà transformé, avec plus de gaz et plus de renouvelables, parce que les renouvelables sont devenues plus compétitives. De grandes entreprises américaines fleurissent dans le secteur et créent des emplois. La dynamique du marché est favorable aux renouvelables. Trump est pro-fossiles, pro-charbon. ll dit qu'il va de nouveau créer des emplois, mais l'industrie des renouvelables, en particulier le solaire, crée énormément d'emplois aux États-Unis, peut-être même plus que le charbon. Donald Trump a un discours un peu contradictoire sur les renouvelables : à la fois, il voit dans les ENR un outil de promotion de l'indépendance énergétique et une source d'emploi et, de l'autre côté, il veut supprimer les subventions. Mais il pourrait ne plus mettre en place des mesures de l'EPA, par exemple, et ce serait à chaque État de décider de sa politique environnementale, de ses subventions.

Donald Trump veut augmenter la production de pétrole des États-Unis. Que peut-il faire ?

Donald Trump a très peu de marge de manœuvre dans le pétrole. C'est un marché international. Il n'aura aucun impact sur les prix car ce sont les cours du brut qui décident comment les producteurs de schistes vont exploiter leurs ressources. Je vois peu d'impact direct. En revanche, il pourrait renoncer à l'accord de mars dernier avec le Canada sur la réduction des émissions de méthane de l'industrie pétrolière et gazière. Des grands projets d'infrastructure, comme le pipeline transfrontalier Keystone XL, avec le Canada aussi, vont clairement revenir. Dans les faits, le secteur du pétrole et du gaz est déjà dans une position très favorable par rapport au secteur charbonnier. Trump veut favoriser la production par le biais de réduction d'impôts, mais s'il prend des mesures de soutien beaucoup plus agressives pour augmenter la production de pétrole de schiste, les cours vont baisser. La dynamique est très internationale. Les États-Unis ont très peu de marge de manœuvre pour faire remonter les prix, au contraire.

Drump va-t-il révoquer l'accord nucléaire avec l'Iran, comme il l'a promis ?

Il me semble tout à fait possible qu'il dénonce l'accord nucléaire avec l'Iran. Mais, encore une fois, on a très peu de visibilité car il a eu un discours très peu cohérent, vu de l'extérieur, sur l'Iran, sur l'OPEP. ll avait un discours très anti-OPEP et très vigoureux à l'égard de l'Arabie saoudite, mais, de l'autre côté, son expert pétrole a demandé à la Russie et à l'OPEP de s'entendre pour baisser la production. Remettre en cause l'accord avec l'Iran aurait un impact sur ses relations avec la Russie et avec l'Arabie saoudite, ainsi que sur la situation au Moyen-Orient. L'élection de Donald Trump est une nouvelle donne dans les relations internationales et dans la politique américaine de ces dernières années par rapport à la Russie, à l'Iran, à l'Arabie saoudite, à la Syrie...

 

 

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