01
sep
2015
Politique étrangère Articles de Politique étrangère
Geoff D. PORTER

Le non-interventionnisme de l'Algérie en question Politique étrangère, vol. 80, n° 3, automne 2015

Marquée par son passé colonial, l’Algérie ne souhaite plus que des puissances étrangères s’ingèrent dans ses affaires intérieures.

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En retour, Alger se garde bien d’intervenir militairement à l’extérieur de ses frontières. Le non-interventionnisme a même été érigé en principe constitutionnel. Dans un environnement régional particulièrement dégradé, caractérisé par la poussée de différents groupes djihadistes, cette doctrine pourrait toutefois être remise en cause.

Geoff D. Porter, docteur en études moyen-orientales et islamiques de la New York University, dirige North Africa Risk Consulting. Il est également professeur assistant au Combating Terrorism Center de l’Académie militaire de West Point. Les points de vue présentés dans cet article sont ceux de l’auteur et ne reflètent en aucun cas la ligne officielle du département de l’Armée, du département de la Défense ou du gouvernement américains.

 

Article publié dans Politique étrangère, vol. 80, n° 3, automne 2015

 

 

 

Plan de l’article

Respect du principe de non-intervention

Les avantages d’une politique claire et constante

Les inconvénients d’une posture politique inflexible

Nouvelles menaces, nouvelles remises en question du non-interventionnisme de l’Algérie

Imperturbable Algérie

Des signes d’assouplissement ?

Deux dynamiques concurrentes

 

Mots-clés
djihadisme mouvement des non-alignés principe de non-intervention Algérie
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