Europe
L'Europe est entendue ici dans son acception géographique. Elle ne se limite pas à l'Union européenne, et inclut par exemple le Royaume-Uni ou les Balkans. Elle reste centrale dans les relations internationales.
Sujets liés

Multilatéralismes : survivre ou renaître ? / Quel Liban après la guerre ?

Le multilatéralisme ordonné né de la Seconde Guerre mondiale et de la guerre froide, et relancé par des années 1990 qui projetaient le rêve d’un monde dessinant une « gouvernance mondiale » apaisée, a fait long feu. L’usure des grands cadres universels (Organisation des Nations unies, Organisation mondiale du commerce, arms control et désarmement, justice pénale internationale…) ne cède pas place au vide mais au trop-plein : à une multiplicité d’accords et de montages témoignant d’une recomposition accélérée des rapports internationaux. L’anarchie institutionnelle, la concurrence ouverte des intérêts exprimée par des volontés de puissance désinhibées, pourront-elles demain s’ordonner autour d’intérêts fondamentaux communs ?
Véhicules électriques : Une performance solide et pourtant sous-estimée
Les véhicules électriques (VE) sont plus bénéfiques pour le climat, même dans les scénarios les plus défavorables. Tout au long de leur cycle de vie, une voiture électrique européenne typique émet moins de gaz à effet de serre (GES) et de polluants atmosphériques ou sonores que son équivalent à essence ou diesel. Bien que les émissions soient généralement plus élevées lors de la phase de production, celles-ci sont largement compensées au fil du temps par des émissions plus faibles lors de la phase d'utilisation. Selon le rapport de l'Agence européenne pour l'environnement sur les VE, les émissions de GES sur l'ensemble du cycle de vie des VE sont environ 17 à 30 % inférieures à celles des voitures essence et diesel.
Les raisons des dissensions France-Allemagne sur l'Ukraine
Emmanuel Macron a dit "ne pas exclure" l'envoi de troupes occidentales au sol en Ukraine. Le chancelier allemand Olaf Scholz y est opposé. Voilà pourquoi leurs positions divergent.
Deux ans de guerre en Ukraine : bilan et perspectives
Pour quelles raisons la contre-offensive ukrainienne de 2023 a-t-elle échoué ? Peut-on dire que les Ukrainiens et les Occidentaux ont sous-estimé la résilience de l’armée russe ? Qu'adviendra-t-il de l'Ukraine en cas de baisse significative du soutien américain ?
Les relations transatlantiques à l'heure de la sécurité économique
En juin 2024 se dérouleront les élections européennes. Cinq mois plus tard se tiendra le scrutin présidentiel américain. Ce dernier sera beaucoup plus déterminant que les premières pour l’avenir du continent européen, pour des raisons à la fois conjoncturelles et structurelles.
La géoéconomie à l'épreuve des rivalités de puissance
Pour ce 2e épisode du podcast "Le Monde selon l'Ifri", Marc Hecker et Katie Hamilton reçoivent Sébastien Jean, directeur associé de l'initiative géoéconomie et géofinance de l'Ifri. Il a publié en novembre 2023, avec Thomas Gomart, une étude de l’Ifri intitulée « Découplage impossible, coopération improbable. Les interdépendances économiques à l’épreuve des rivalités de puissance ».

Allemagne : Erdogan, candidat aux élections européennes
L'Alliance démocratique pour la diversité et l'éveil (Demokratische Allianz für Vielfalt und Aufbruch), ou Dava, vient de voir le jour en Allemagne. Le jeune parti politique présente quatre candidats, qui ont tous déjà fait campagne pour Erdogan ou pour ses organisations de soutien.
Le Premier ministre Gabriel Attal en Allemagne pour son premier déplacement à l'étranger
Le Premier ministre français Gabriel Attal se rend à Berlin ce lundi 5 février 2024. Il y effectue son premier déplacement à l’étranger pour un dîner de travail avec le chancelier Olaf Scholz alors que les points de désaccord entre les deux pays sont nombreux.
Aide à l'Ukraine : un "message fort" envoyé à Vladimir Poutine ?
Les vingt-sept chefs d'Etat et de gouvernement de l'Union européenne sont parvenus, jeudi, à un accord sur le versement d'une nouvelle aide financière à l'Ukraine de 50 milliards d'euros jusqu'en 2027.
Thomas Gomart (Ifri) : "Si les Européens laissent les Ukrainiens à leur sort, ce sera la fin de l’Europe"
Désarmée face aux chocs contre l’Occident, anesthésiée par le parapluie américain, l’Union doit organiser seule sa sécurité, avertit l’historien Thomas Gomart, directeur du think tank français. Sa survie est en jeu. Rencontre.
Thomas Gomart : « Les Européens doivent évidemment se réarmer »
L’historien plaide pour un véritable débat politique sur les grands choix stratégiques, à la veille des élections européennes. Invasion de l’Ukraine par la Russie en 2022, tensions permanentes entre la Chine et Taïwan, attaque d’Israël par le Hamas en 2023…
Politics and Policies of French Citizenship, Ethnic Minorities and the European Agenda
Entreprises et politique étrangère. Le lobbying à Paris, Washington et Bruxelles
La France et la Convention : entre les intérêts nationaux et une vision européenne
Cette analyse présente les positions françaises sur la Convention européenne, et le débat que celle-ci suscite en France. Elle s'inscrit dans les activités du réseau EPIN du CEPS, auquel est associé l'Ifri.
De la citoyenneté locale
Le débat sur la citoyenneté locale des populations immigrées et issues de l'immigration a près de 30 ans. Son contenu a beaucoup évolué.
Paris, Berlin et Londres : vers l'émergence d'un directoire européen ?
Brexit : du pied dehors au pied dedans ?
Considéré comme le mouton noir de l’Union européenne, celui qui dit « non, à moins que… », le Royaume-Uni était parvenu à garder un pied dehors. Quand il en sera sorti, il pourrait bien garder un pied dedans !
Trois mois après le référendum sur le Brexit
Vivien Pertusot, responsable d'Ifri Bruxelles, était l'invité de "La Semaine de l'Europe" sur la Première (RTBF) pour discuter de l'état des négociations sur le Brexit trois mois après le référendum et sur les dynamiques politiques au sein de l'Union européenne.
Brexit - Le timing du divorce
Vivien Pertusot, responsable d'Ifri Bruxelles, répond aux questions de "La Liberté" trois mois après le référendum britannique sur les négociations du Brexit et les prochaines étapes.
Discours sur l'état de l'union: "une tonalité assez grave"
Pour réagir au discours sur l‘état de l’Union de Jean-Claude Juncker, Euronews a interrogé Vivien Pertusot, responsable du bureau de Bruxelles de l’Ifri.

Juncker, l'optimiste
Sécurité, investissement, aide à l'Afrique: des annonces ont été faites par le président de la Commission européenne. Pour Hans Stark : Jean-Claude Juncker ne pratique pas la langue de bois et " plutôt que d'aller trop loin dans l'autoflagellation, Juncker a voulu donner de l'espoir aux Européens".
Face au chaos du monde, reprendre le chemin de la raison
"Après le Brexit, rien de nouveau sous le soleil en Europe"
Interview sur RCF - Rapprocher les Européens. C’était l’objectif du mini-sommet réunissant les chefs d’Etat français, allemand, et italien. Ils ont tenté de trouver une solution pour l'Europe en crise.
Au-delà du cas Boris Johnson
Comment « amadouer » des partenaires que l'on a insultés pendant des mois et dont on recherche désormais la compréhension et la bonne volonté ? Tel est le défi auquel se trouvent confrontés le nouveau ministre des Affaires étrangères britannique Boris Johnson et son collègue David Davis, ministre directement en charge du Brexit.
Brexit : plus d'Allemagne en Europe
« Quand je veux parler à l'Euro-pe, qui dois-je appeler ? » se demandait l'ancien secrétaire d'État des États-Unis Henry Kissinger. « La question est désormais résolue, répondait après le référendum britannique, Nicholas Burns, un ancien diplomate américain de haut rang. Il faut appeler la Chancellerie d'Allemagne. ». Les conséquences du Brexit sont à terme plus importantes sans doute sur un plan géopolitique que strictement économique. Pour aller à l'essentiel, depuis le 23 juin 2016, il y a bien sûr moins de Grande-Bretagne en Europe, et probablement moins d'Europe dans le monde.

Le Royaume-Uni peut-il présider le Conseil de l'UE en 2017?
« Juridiquement, rien n'empêche le Royaume-Uni d'assurer la présidence », rappelle Vivien Pertusot, directeur du bureau à Bruxelles de l'Institut français des relations internationales (Ifri), avant de concéder: « Mais ce serait quand même étrange ! » L'expert maintient surtout que le pays n'est pas prêt pour ce rôle clé : « Une présidence se prépare longtemps
à l'avance. Le Royaume-Uni a mobilisé ses forces vives ailleurs, notamment dans la préparation du référendum ».
Et si le Royaume-Uni décidait de présider malgré tout ? Cela n'est pas exclu. Pour Vivien Pertusot, il serait même dans l'intérêt des Britanniques d'assumer ce rôle : « Le Royaume-Uni pourrait gérer les affaires courantes et essayer d'influer sur les politiques qui l'intéressent, de telle sorte qu'il puisse en bénéficier une fois sorti de l'UE. Il serait au coeur du jeu institutionnel ».
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