Europe
L'Europe est entendue ici dans son acception géographique. Elle ne se limite pas à l'Union européenne, et inclut par exemple le Royaume-Uni ou les Balkans. Elle reste centrale dans les relations internationales.
Sujets liés
Les narratifs spatiaux : Enjeux stratégiques et perspective européenne
Les récits que les puissances construisent autour de l’espace jouent aujourd’hui un rôle déterminant dans leur stratégie. Aux États-Unis, la référence à la frontière et à la destinée manifeste continue de structurer un narratif d’expansion, où l’exploration spatiale incarne la vocation nationale à repousser les limites et à maintenir une excellence technologique. En Russie, le spatial demeure un instrument central de puissance et de prestige, hérité de l’époque soviétique mais désormais réorienté par un récit privilégiant la militarisation. La Chine inscrit son « rêve spatial » dans un projet de renaissance nationale : ses réussites technologiques et scientifiques deviennent les vecteurs de son nouveau statut international. D’autres acteurs, comme l’Inde, le Japon ou les Émirats arabes unis, mobilisent l’espace pour affirmer leur modernité, renforcer leur autonomie ou projeter un leadership régional.
La visite de Trump au Royaume-Uni "tombe à un très mauvais moment"
La visite de Donald Trump au Royaume-Uni prend mardi un tour plus politique. Le président américain doit s'entretenir avec la Première ministre Theresa May, qui quitte son poste vendredi. Le climat est donc peu propice aux négociations.
Le nouveau Parlement annonce-t-il un printemps européen ?
Les élections européennes qui viennent de se dérouler dans les 28 pays de l’Union ont généré bien des surprises.
Thomas Gomart : « Ce résultat complique notre positionnement à l’international »
Directeur de l’Institut français des relations internationales (Ifri), l’historien Thomas Gomart analyse les conséquences de la nouvelle composition du Parlement européen sur nos relations avec la Chine, la Russie et les États-Unis.
Elections. Une envie d'Europe ?
Au lendemain des élections européennes, Élisabeth Quin anime le débat "L’Europe fragmentée par le clivage nationalistes / fédéralistes" en compagnie de Nadia Daano et Claude Askolovitch.
Intensifier l'acte 2 du quinquennat
Selon l’entourage d’Emmanuel Macron, le président de la République souhaite "intensifier l’acte 2 du quinquennat" après le résultat des élections européennes. S’estimant "conforté" par le peu d’écart entre son parti et le Rassemblement national, le chef de l’État ne semble donc pas vouloir opérer un "changement de cap".
Quel chemin pour l’Europe ?
Les électeurs ont parlé : on connaît aujourd'hui la composition du Parlement européen pour les cinq prochaines années. Il y a évidemment quelques changements : progression de l'extrême-droite et des souverainistes. Progression également des écologistes et des libéraux. Recul des deux grands groupes traditionnels : Parti populaire européen de droite et Parti socialiste européen de gauche.
Analyse des résultats des élections européennes
Après les élections européennes, Emmanuel Macron et le guvernement annoncent qu'il n'y aura pas de changement de cap. Sont-ils encore en position de force ? Emmanuel Macron dispose-t-il d'une marge importante de manoeuvre sur le plan européen ? Quelles alliances pour le futur parlement européen ?
Démission de Theresa May : cela va-t-il changer le Brexit ?
Retour sur la campagne pour les européennes au Royaume-Uni avec Vivien Pertusot, chercheur associé à l'Ifri, spécialiste des questions européennes.
Pourquoi le message est brouillé entre Paris et Berlin
Les ambitions de réformes pour l'UE d'Emmanuel Macron devaient permettre à la France de rééquilibrer sa relation avec l'Allemagne, devenue incontournable dans le paysage politique international. Absorbé par la gestion d'une instabilité politique intérieure inédite, Berlin fait la sourde oreille, renforçant la crainte de Paris d'être marginalisé. La course d'influence suscitée par la campagne des européennes renforce la fébrilité française.
Thierry de Montbrial : « La construction européenne pourrait s’étendre sur deux siècles »
L’Institut français des relations internationales (Ifri) fête cette année ses 40 ans d’activité. À la veille des élections européennes, Thierry de Montbrial, son président, fait le point sur les difficultés que rencontre la construction européenne en la remettant dans un contexte international dominé par la compétition entre les États-Unis et la Chine.
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