
Désigne, détruit, domine : la dronisation massive des opérations comme potentielle révolution militaire

La dronisation observée en Ukraine, par l’ampleur des flottes engagées et son omniprésence dans les opérations des deux belligérants, semble réunir les conditions d’une véritable révolution militaire.

Guerre en Ukraine : Pourquoi le chancelier allemand, Olaf Scholz, s’est-il résolu à livrer des chars à Kiev ?
STRATEGIE Le chancelier Allemand, Olaf Scholz, a été sévèrement critiqué par la communauté internationale pour son attentisme concernant la livraison d'armes lourdes à Kiev.
La livraison d’armes lourdes à Kiev, un défi logistique en deux temps

L’armée russe défaite par… un téléphone portable
Jusqu’ici envisagés comme un moyen de propagande, le téléphone portable et les réseaux sociaux sont utilisés par les services ukrainiens pour collecter du renseignement opérationnel qui explique les nombreuses embuscades dans lesquelles est tombée l’armée russe.
L’économie russe résistera-t-elle aux sanctions ? Webinaire
Briefing de Julien Vercueil, professeur des universités en sciences économiques, vice-président de l'INALCO.
Livraisons d’armes : «Les Occidentaux se rallient à l’idée que l’Ukraine peut se lancer dans une guerre de reconquête»
Les Etats-Unis et leurs alliés occidentaux se sont réunis ce mardi à Ramstein, en Allemagne, pour organiser les livraisons d’armes à l’Ukraine. Pour le chercheur Elie Tenenbaum, cette aide est un tournant qui pourrait permettre aux Ukrainiens de contre-attaquer face à la Russie.
De la guerre en Ukraine à l'affrontement contre l'Occident
Le secrétaire général de l'ONU était à Moscou ce mardi dans l'espoir de négocier des corridors humanitaires avant de se rendre mercredi à Kiev. Le Kremlin est de plus en plus menaçant sur ses intentions dans une guerre qui risque de se prolonger.
Quotidien - Edition spéciale guerre en Ukraine
La journée a une nouvelle fois été riche en événements : les Etats-Unis ont réuni aujourd'hui, en Allemagne, tous les pays alliés pour armer davantage l'Ukraine, le patron de l'ONU a rencontré le chef de la diplomatie russe, tout ça alors que la situation à Marioupol, à Kharkiv est proche de l'agonie et du chaos selon les témoins sur place.
Guerre en Ukraine: quel impact sur les «nouvelles routes de la soie» ?
Dommage collatéral de taille : la guerre en Ukraine est venue percuter le projet pharaonique cher à la Chine de Xi Jinping : les « nouvelles routes de la soie ». En particulier la route ferroviaire de marchandises qui relie le territoire chinois à l'Europe, via le Kazakhstan, la Russie et la Biélorussie.
Deux mois de guerre en Ukraine
Le 24 février, la Russie envahissait l'Ukraine. Deux mois après, la Russie concentre ses forces sur le sud du pays. Son objectif : établir un contrôle total sur le Donbass et le sud de l'Ukraine.
Ukraine : le rôle de la Turquie
Alors que le pays a organisé à deux reprises des négociations entre Kyiv et Moscou, quelle est la marge d’action du président Erdogan ? Son jeu d’équilibrisme peut-il durer ?

L'Europe de nouveau face à Poutine
Seize mois après le début de la guerre en Ukraine, les chefs d'Etat européens se retrouvent jeudi pour un nouveau sommet du Partenariat oriental, que le Kremlin qualifie d'« antirusse ».

Good Morning Weekend
Avec Éric Chol, directeur de la rédaction de Courrier International, Nicolas Hénin, auteur de "Jihad Academy" et Louis Keumayou, président du Club de l'Information Africaine.
Ecouter l'émission
En Ukraine, le Kremlin a-t-il réellement les moyens militaires de ses ambitions?
"Ce devrait être du grand spectacle militaire : si l'on en croit le ministère russe de la Défense, pas moins de 1500 parachutistes devraient être largués samedi dans la région de Pskov, frontalière de l'Estonie et de la Lettonie."

Ukraine : guerre ou paix?
Tatiana Kastoueva-Jean sur Europe 1 jeudi 19 février à propos des accords de Minsk II et de la situation en Ukraine.
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A partir de 39'30''

Les accords de Minsk sur l'Ukraine sont-ils voués à l'échec ?
« Depuis l’accord conclu mercredi 11 février à Minsk, la ligne de démarcation entre l’armée ukrainienne et les séparatistes a changé avec la chute, qui était prévisible, de la ville de Debaltseve. »
Potemkin observers
Rebel commander Alexander Zakharchenko smiled only slightly on hearing that he had won this weekend's elections in Donetsk, Ukraine (pictured). The results were never in doubt: Mr Zakharchenko's nominal opponents openly supported him, and his face was the only one on campaign billboards. Nonetheless, eastern Ukraine's separatist republics went through the motions of democracy, including inviting international election observers. Those proved hard to find: while Russia has said it will respect the vote, America, the European Union, and the United Nations have all condemned it.
Depuis l'annexion de la Crimée, les Occidentaux ont perdu confiance en Poutine
Pensez-vous que le plan de règlement de crise proposé par Vladimir Poutine pose vraiment des questions de fond pour en finir avec le conflit ukrainien ou est-ce une simple manœuvre pour gagner du temps ?
- Aujourd'hui, il est difficile de répondre à cette question. Le président russe Vladimir Poutine a toujours fait dans la dichotomie. Sur un plan politique, il a parlé de paix et de règlement de conflit avec son homologue ukrainien à Bénouville (en France) en juin et à Minsk la semaine dernière.
Que cherche Vladimir Poutine avec un "statut étatique" pour l'est de l'Ukraine?
Il ne s’agit pas d’une évolution doctrinale de Moscou, mais plutôt de la volonté de traduire en gain politique l’évolution militaire sur le terrain en Ukraine, où les insurgés ont résisté à la tentative de reprise en main de Kiev et marquent des points. Depuis la chute de Ianoukovitch, la Russie souhaite en effet que les autorités ukrainiennes aillent vers une fédéralisation du pays afin que la partie orientale gagne en autonomie, voire se sépare.
Ukraine. Le coût d'une victoire
Avec la prise de Slaviansk, la crise du Donbass est-elle finie ? Depuis le 5 juillet, le drapeau ukrainien flotte à nouveau sur ce bastion séparatiste de l’est du pays. Or c’est ici, dans cette ville de 110 000 habitants, que la rébellion contre Kiev avait commencé, il y a trois mois. Tout un symbole. La veille, c’est Kramatorsk, autre fief rebelle, qui rebasculait côté pro-ukrainien. Depuis la fin du cessez-le-feu, décrétée fin juin, l’armée régulière marque des points, malgré ses hommes mal armés, sous-équipés, mal entraînés. La crise ukrainienne n’est pas pour autant terminée.
"L'Ukraine fait une ouverture envers les séparatistes"
En 14 points, le président ukrainien Petro Porochenko prévoit en premier lieu « des garanties pour la sécurité des participants aux discussions », l’amnistie pour les insurgés, la libération des otages, la création d’une zone tampon de 10 km à la frontière entre l’Ukraine et la Russie, « le désarmement » des milices, la fin de « l’occupation illégale » des bâtiments de l’administration régionale de Donetsk et Lougansk contrôlés par les rebelles, l’organisation rapide d’élections législatives locales et un programme pour la création d’emplois dans la région.
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