L’Afrique de l’Ouest dans la tourmente des coups d’État La table Ifri entreprises
Un déjeuner-débat autour d'Alain ANTIL, directeur du Centre Afrique subsaharienne de l'Ifri et d'Elie TENENBAUM, directeur du Centre des Études de Sécurité de l'Ifri.
Après le Mali, la Guinée et le Burkina Faso, le Niger et le Gabon sont venus s’ajouter à la longue liste de pays ébranlés par des coups militaires en Afrique francophone. Comment expliquer une telle « épidémie de putsch » évoquée par le Président de la République ? Comment la France peut-elle se positionner dans cette dynamique ? Pour défendre quels objectifs et avec quels partenaires ? Ces défis paraissent d’autant plus structurants que la situation sécuritaire se dégrade en Afrique de l’Ouest – sur fond de poussée djihadiste et d’ingérence russe – et que la région se transforme rapidement sous le triple effet de la transition démographique, du dérèglement climatique et des mutations économiques.
Présidence : Thomas GOMART, directeur de l'Ifri.
Ce débat est accessible sur invitation nominative. Il se déroulera en français.
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Pour plus d'informations sur le débat, veuillez contacter Audrey CABALD, chargée des relations avec les membres entreprises : cabald@ifri.org
La multiplication des coups d'Etat au Sahel et en Afrique de l'Ouest, qui fragilise encore un peu plus l'influence de la France sur le continent, signe un inquiétant recul démocratique. Explications avec Alain Antil, de l'IFRI.
Emmanuel Macron défend coûte que coûte la présence française dans un pays au cœur de son dispositif militaire en Afrique. Il mise sur les dissensions au sein des putschistes, mais sa position pourrait vite devenir intenable si les militaires se maintiennent au pouvoir.
