Frappes Israël-Iran : « Un conflit dont l'Iran ne peut pas sortir victorieux »
Cela fait longtemps que les ambitions nucléaires iraniennes obsèdent l’État hébreu mais l'annonce par Téhéran de l'ouverture d'un nouveau centre d'enrichissement de l'uranium a précipité l'opération militaire israélienne.
Israël frappe l’Iran… et ses sites nucléaires
"Il est crucial d’œuvrer à la désescalade". Mark Rutte, le secrétaire général de l'Otan, n'a pas caché son inquiétude au lendemain des bombardements d'Israël sur des installations nucléaires iraniennes. L'État hébreu, qui soupçonne l'Iran de vouloir se doter de l'arme atomique, a de surcroît tué des figures fortes du régime de Téhéran. Parmi eux : le chef d’état-major iranien, Mohammed Bagheri, puissant chef du corps des Gardiens de la Révolution.
C'est une disposition qui permet, si un État le décide, de reprendre des sanctions qui avaient été levées sur l'Iran. Et ceci peut se faire avec ou sans l'accord de la Chine et de la Russie, puisque c'est une décision qui se fait sans veto. Donc, on peut s'attendre potentiellement à ce qu'une décision sur le "snapback" soit prise à la réunion du Conseil des gouverneurs.
citée par Pierre Olivier sur RFI
Guerre en Ukraine : « Donald Trump pourrait laisser tomber ce dossier parce qu’il en a assez »
Guerre commerciale avec le Canada, rapprochement idéologique avec la Russie, projet d'accord nucléaire avec l'Iran... Que veut dire la politique étrangère de Donald Trump ?
Vers un accord Trump-Iran sur le nucléaire ?
Donald Trump a entamé avec les mollahs des négociations au sujet du nucléaire iranien. Un revirement inattendu, alors que les deux pays n’entretiennent plus de relations diplomatiques officielles depuis 1980.
Nucléaire iranien : Donald Trump peut-il négocier un nouvel accord ?
On connaît l'amour du président des États-Unis pour « The Art of the Deal », l'art de la négociation.
La question est de savoir s’ils réussiront à imposer leur vision, quand on voit comment les Etats-Unis et Trump imposent leurs conditions à l’Europe au sujet de l’Ukraine.
citée dans Le Monde.
Quelle réponse de l’Iran après la mort du chef du Hezbollah ?
Le Hezbollah a confirmé, samedi 28 septembre, la mort de son chef historique, Hassan Nasrallah — revendiquée quelques heures plus tôt sur X par l'armée israélienne — à la suite d'une frappe dans le sud de Beyrouth. Un véritable coup de tonnerre dans tout le Moyen-Orient, et particulièrement en Iran.
Entretien. « L’Iran a tous les avantages de l’arme nucléaire, mais sans les inconvénients »
Deux semaines, c'est le temps qu'il faudrait désormais à la République islamique pour produire des matières dites « fissiles », une étape importante vers l'obtention de la bombe nucléaire. Mais concrètement, ça change quoi ? « Charlie » a posé la question à Héloïse Fayet, responsable du programme de recherche Dissuasion et prolifération à l'Ifri.
Face à la réponse d’Israël, l’Iran tenté par la dissuasion ultime du nucléaire
Téhéran possède aujourd’hui les capacités techniques de produire suffisamment de matière fissile pour fabriquer une arme atomique en deux semaines environ.
Nucléaire iranien: vers le scénario du pire?
Les négociations sur le nucléaire iranien semblaient sur le point d'aboutir quand, soudainement, est réapparu le scénario du pire. Téhéran dispose de 40 kilos d'uranium enrichi à 60% et pourrait être en mesure de bricoler une bombe nucléaire rudimentaire, en attendant d'atteindre le seuil des 90% nécessaire à une éventuelle utilisation militaire.
Nucléaire iranien: ce que change la guerre en Ukraine
Cela fait plusieurs semaines que l’accord sur le nucléaire iranien n’est plus…qu’une affaire de jours. Discuté depuis un an à Vienne, et présenté comme imminent, le retour au JCPOA (Plan d’action global commun sur le programme nucléaire iranien) de 2015 se fait attendre et semble être passé, comme d’autres dossiers régionaux, au second plan des préoccupations diplomatiques depuis la guerre en Ukraine.
De Téhéran à Pyongyang : négocier l’atome
Alors que l'accord de Vienne sur le nucléaire iranien semblait voué à l'échec après le retrait américain décidé par Donald Trump, un nouveau compromis entre les pays signataires serait sur le point d'être trouvé. L'accord limitant le programme nucléaire iranien peut-il encore être sauvé ?
Enlisement de l'accord sur le nucléaire iranien : tous responsables ?
Les négociations entre les sept membres de l'accord sur le nucléaire iranien ont pu reprendre à Vienne le 29 novembre dernier, après cinq mois de suspension. Toutefois, les discussions demeurent laborieuses et font planner le doute quant à un retour possible à l'accord de 2015.
Nucléaire iranien : est-il trop tard pour un accord ?
Les négociations sur le nucléaire iranien entre les grandes puissances et l’Iran ont repris le 29 novembre à Vienne.
Iran : l'engrenage nucléaire
Joe Biden peut-il continuer à se désengager du Moyen-Orient alors que la région est au bord d’une crise ouverte ?
Nucléaire iranien : des négociations vouées à l'échec ?
Alors que se sont rouvertes hier à Vienne les négociations pour sauver l'accord sur le nucléaire iranien de 2015, les positions israéliennes et américaines semblent de moins en moins compatibles.
Iran: le cadeau empoisonné de Trump à Biden ?
De nouveaux développements assez dramatiques sont intervenus en Iran, avec l'assassinat ce 27 novembre de Mohsen Fakhrizadeh, une grande figure du programme nucléaire iranien, attribué à un commando israélien. Il faudrait sans doute y voir pour Israël la volonté de compliquer, voire de rendre impossible les discussions que Joe Biden veut rouvrir avec l'Iran, pour remettre en route le traité sur le nucléaire iranien de 2015, le JCPOA .
Nucléaire : perspective d'ouverture prudente entre Téhéran et l'équipe Biden
L'Iran se dit prêt à respecter « automatiquement » ses engagements en matière nucléaire si l'administration Biden réintègre le traité JCPOA dénoncé en mai 2018 par Donald Trump. Un retour à un simple statu quo semble toutefois peu vraisemblable.
Nucléaire iranien : «Les sanctions américaines ne feront pas changer la position de Téhéran»
L’ancien ambassadeur Denis Bauchard, conseiller à l’Institut français pour les relations internationales pour le Moyen-Orient, explique pourquoi Paris s’oppose à la politique musclée de Washington sur le dossier du nucléaire iranien.
Soutenez une recherche française indépendante
L'Ifri, fondation reconnue d'utilité publique, s'appuie en grande partie sur des donateurs privés – entreprises et particuliers – pour garantir sa pérennité et son indépendance intellectuelle. Par leur financement, les donateurs contribuent à maintenir la position de l’Institut parmi les principaux think tanks mondiaux. En bénéficiant d’un réseau et d’un savoir-faire reconnus à l’international, les donateurs affinent leur compréhension du risque géopolitique et ses conséquences sur la politique et l’économie mondiales. En 2024, l’Ifri accompagne plus de 70 entreprises et organisations françaises et étrangères.