
La question est de savoir s’ils réussiront à imposer leur vision, quand on voit comment les Etats-Unis et Trump imposent leurs conditions à l’Europe au sujet de l’Ukraine.
citée dans Le Monde.

Quelle réponse de l’Iran après la mort du chef du Hezbollah ?
Le Hezbollah a confirmé, samedi 28 septembre, la mort de son chef historique, Hassan Nasrallah — revendiquée quelques heures plus tôt sur X par l'armée israélienne — à la suite d'une frappe dans le sud de Beyrouth. Un véritable coup de tonnerre dans tout le Moyen-Orient, et particulièrement en Iran.
Entretien. « L’Iran a tous les avantages de l’arme nucléaire, mais sans les inconvénients »
Deux semaines, c'est le temps qu'il faudrait désormais à la République islamique pour produire des matières dites « fissiles », une étape importante vers l'obtention de la bombe nucléaire. Mais concrètement, ça change quoi ? « Charlie » a posé la question à Héloïse Fayet, responsable du programme de recherche Dissuasion et prolifération à l'Ifri.

Face à la réponse d’Israël, l’Iran tenté par la dissuasion ultime du nucléaire
Téhéran possède aujourd’hui les capacités techniques de produire suffisamment de matière fissile pour fabriquer une arme atomique en deux semaines environ.
2024, l’année de la bombe atomique pour l’Iran ?
En l’absence d’accord, la République islamique continue de développer son programme nucléaire, dépassant les seuils d’enrichissement autorisés. Jusqu’où ?
Iran : quelle stratégie pour les États-Unis à l’heure de l’embrasement proche-oriental ?
Le 15 octobre 2023, interrogé sur le risque de recrudescence des tensions à la frontière israélo-libanaise, Joe Biden en appelle à la raison : « Don’t ! Don’t ! Don’t ! ». Le propos intervient une semaine après une série d’attaques terroristes en territoire israélien coordonnées par le Hamas, qui cause la mort de 1 200 personnes.
Nucléaire : l’Iran entre coopération et défi
Ces derniers mois, l'Iran a augmenté son stock d'uranium enrichi sur son territoire. Théoriquement, selon un accord signé en 2015 entre l'Iran et les membres du Conseil de sécurité des Nations Unis, le taux d'enrichissement de l'uranium iranien ne devrait pas dépasser 3,6 %. Or l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) révèle qu'il est aujourd'hui enrichi à prêt de 84 %, à un rien des 90 % nécessaires pour produire une bombe atomique. Depuis mai 2018 et la sortie des Etats-Unis des accords de 2015 décidée par Donald Trump, les négociations avec Téhéran patinent et les Iraniens sont de plus en plus exigeants sur les contreparties à une limitation de leur activité nucléaire.
Iran : Bientôt capable de fabriquer une arme nucléaire ?
Jusqu'où l'Iran va-t-il poursuivre son programme nucléaire ? La République islamique a franchi un stade jamais atteint selon l'AIEA. Le gendarme du nucléaire a détecté des particules d'uranium enrichi à 83,7 %, c'est-à-dire juste en-dessous du seuil de 90 % nécessaire à la fabrication de l'arme atomique.
Nucléaire : "C'est très important que l'Iran ne devienne pas une nouvelle Corée du Nord"
Pour Héloïse Fayet, de l'Institut français des relations internationales, si l'Iran pouvait fabriquer suffisamment de matière fissile en douze jours, le processus pour acquérir une bombe nucléaire prendrait encore un ou deux ans.

Nucléaire iranien : 5 minutes pour comprendre pourquoi l’Iran veut "tester la ligne rouge occidentale"
Jusqu’où ira l’Iran dans la poursuite de son programme nucléaire ? La question se pose une nouvelle fois alors que l’Agence internationale du nucléaire (AIEA) a détecté sur son sol des particules d’uranium enrichi à 83,7 %, soit juste en deçà des 90 % nécessaires pour produire une bombe atomique. Sous pression, Téhéran a évoqué des « fluctuations involontaires », continuant de nier toute volonté de produire une telle arme. Cette position sera-t-elle tenable sur le long terme ? Le Parisien fait le point.
Iran : où en sont les négociations ?
Les négociations sur le programme nucléaire iranien doivent reprendre jeudi 18 septembre à New York, en marge de la conférence des Nations Unies. A l’heure où les Etats-Unis se voient obligés de s’impliquer à nouveau dans les affaires du monde, que ce soit en Ukraine ou au Moyen-Orient, un succès dans les négociations du groupe « P5+1 » (Russie, Etats-Unis, Chine, Royaume-Uni, France, Allemagne) avec la République Islamique serait précieux à de nombreux égards. Mais les points d’achoppements sont encore nombreux. Les négociateurs pourront-ils élaborer un document définitif garantissant la nature pacifique du programme nucléaire iranien avant la date-butoir du 24 novembre ?
John Kerry au Proche-Orient : de la diplomatie de la faiblesse à la diplomatie de l'espoir ?
En 2013, Barack Obama et John Kerry ont difficilement réussi à pousser les dirigeants israéliens et palestiniens à reprendre les négociations de paix. Dans le même temps, Washington a renoué le dialogue avec Téhéran pour tenter de trouver une solution au problème du nucléaire iranien.
L'accord de Genève entre Iran et 5+1 : au delà des questions nucléaires
La conclusion de l’accord intérimaire de Genève du 24 novembre 2013 constitue une victoire des partisans d’une approche réaliste des relations internationales sur les idéologues, en Iran comme en Occident. En effet, depuis dix ans, les obstacles de politique interne ont joué un rôle majeur dans l’échec des négociations nucléaires entre l’Iran et la « communauté internationale ».
Iran, l'épreuve de vérité
Sans surprise, la dernière rencontre à Moscou entre les cinq membres permanents du Conseil de sécurité et l’Allemagne conduits par Catherine Ashton d’une part et l’Iran d’autre part n’a débouché sur aucun accord. Il était clair que le « paquet » présenté par les « P5 +1 » comme première étape d’un processus appelé à déboucher sur un accord définitif n’avait aucune chance de convaincre.

Nucléaire iranien : 5 minutes pour comprendre pourquoi l’Iran veut "tester la ligne rouge occidentale"
Jusqu’où ira l’Iran dans la poursuite de son programme nucléaire ? La question se pose une nouvelle fois alors que l’Agence internationale du nucléaire (AIEA) a détecté sur son sol des particules d’uranium enrichi à 83,7 %, soit juste en deçà des 90 % nécessaires pour produire une bombe atomique. Sous pression, Téhéran a évoqué des « fluctuations involontaires », continuant de nier toute volonté de produire une telle arme. Cette position sera-t-elle tenable sur le long terme ? Le Parisien fait le point.
Iran : Bientôt capable de fabriquer une arme nucléaire ?
Jusqu'où l'Iran va-t-il poursuivre son programme nucléaire ? La République islamique a franchi un stade jamais atteint selon l'AIEA. Le gendarme du nucléaire a détecté des particules d'uranium enrichi à 83,7 %, c'est-à-dire juste en-dessous du seuil de 90 % nécessaire à la fabrication de l'arme atomique.
L’Iran au seuil de ses ambitions nucléaires
Téhéran a de nouveau progressé dans son programme nucléaire : la République islamique enrichit désormais de l’uranium à 60% dans un deuxième site, celui de Fordo, qui a la particularité d’être profondément enfoui sous terre. Cette accélération survient alors qu’il n’y a plus de négociations pour un nouvel accord nucléaire. Et alors que l’isolement de l’Iran s’accroît en raison de la répression du mouvement de contestation qui dure depuis le mois de septembre.
Femme, vie, liberté : révolution à l’iranienne
480 morts et 16 800 arrestations en deux mois. Tandis que le slogan "Femmes, Vie, Liberté" résonne dans l'hémicycle à quelques jours de la journée internationale contre les violences faites aux femmes, Téhéran passe un nouveau cap vers l’arme nucléaire annonçant produire de l’uranium enrichi à 60 %.

Nucléaire iranien : Avec un uranium enrichi à 60 %, l'accord pourrait « être mort »
Le gendarme du nucléaire sermonne, l’Iran riposte. Ces derniers jours, la tension est montée d’un cran entre l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA) et Téhéran. Face aux critiques sur « son manque de coopération », cette dernière a annoncé avoir commencé, ce mardi, la production d’uranium à 60 % et qu’elle allait limiter les visites des inspecteurs de l’agence onusienne sur son territoire. La décision del a République islamique inquiète la communauté internationale, qui n’a pas manqué de réagir. Mais alors qu’il fait face aux révoltes internes dues aux manifestations liées à la mort de Mahsa Amini, l’Iran semble déterminé à avancer sur le nucléaire. 20 Minutes fait le point avec Héloïse Fayet, chercheuse spécialiste des doctrines de prolifération nucléaire.
Iran : Téhéran exige de nouvelles concessions des Etats-Unis concernant l'accord nucléaire
Après d'intenses négociations à Vienne début août, une proposition de texte a été effectuée par l'Union européenne, mais l'Iran souhaite des garanties supplémentaires de la part des Etats-Unis.
Iran : où en sont les négociations de l'accord sur le nucléaire ?
Depuis 2021, l'Iran et les grandes puissances négocient à Vienne afin de ressusciter l'accord international de 2015. Après s'en être retiré en 2018 avec Donald Trump, Washington souhaite réintégrer l'accord. Un compromis «final» est en cours d’étude mais certains éléments font l'objet de vives négociations.
Nucléaire iranien: vers le scénario du pire?
Les négociations sur le nucléaire iranien semblaient sur le point d'aboutir quand, soudainement, est réapparu le scénario du pire. Téhéran dispose de 40 kilos d'uranium enrichi à 60% et pourrait être en mesure de bricoler une bombe nucléaire rudimentaire, en attendant d'atteindre le seuil des 90% nécessaire à une éventuelle utilisation militaire.
Nucléaire iranien: ce que change la guerre en Ukraine
Cela fait plusieurs semaines que l’accord sur le nucléaire iranien n’est plus…qu’une affaire de jours. Discuté depuis un an à Vienne, et présenté comme imminent, le retour au JCPOA (Plan d’action global commun sur le programme nucléaire iranien) de 2015 se fait attendre et semble être passé, comme d’autres dossiers régionaux, au second plan des préoccupations diplomatiques depuis la guerre en Ukraine.
De Téhéran à Pyongyang : négocier l’atome
Alors que l'accord de Vienne sur le nucléaire iranien semblait voué à l'échec après le retrait américain décidé par Donald Trump, un nouveau compromis entre les pays signataires serait sur le point d'être trouvé. L'accord limitant le programme nucléaire iranien peut-il encore être sauvé ?
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