La nouvelle diplomatie économique asiatique : Chine, Japon, Corée comme exportateurs d'infrastructures

Dans le secteur des infrastructures énergétiques, et notamment dans l’industrie du nucléaire civil, l’émergence, sur la scène internationale, de nouveaux acteurs toujours plus ambitieux conduit à s’interroger non seulement sur leurs motivations mais aussi sur les moyens mobilisés pour appuyer cette offensive ainsi que sur leur capacité réelle à entrer en concurrence avec les acteurs traditionnellement dominants que sont les États-Unis et divers pays de l’Union Européenne. Aux côtés du Japon, qui n’est plus aujourd’hui un nouveau venu dans le secteur, la concurrence vient désormais de Chine et de Corée du Sud.
L’objectif de la présente étude est d’examiner la logique et le fonctionnement des stratégies déployées par le Japon, la Corée du Sud et la Chine afin d’appuyer les exportations d’infrastructures par leurs entreprises. Chacune des études de cas replacera ces pratiques dans le contexte global de la stratégie de développement de chaque pays et s’attachera à analyser successivement la nature des acteurs en présence, le bien-fondé de leur stratégie ainsi que sa mise en oeuvre, en mettant en évidence leurs éventuelles forces ou faiblesses.
La rédaction de cette étude s’est achevée en mars 2014.
Contenu disponible en :
Régions et thématiques
ISBN / ISSN
Utilisation
Comment citer cette publicationPartager
Téléchargez l'analyse complète
Cette page ne contient qu'un résumé de notre travail. Si vous souhaitez avoir accès à toutes les informations de notre recherche sur le sujet, vous pouvez télécharger la version complète au format PDF.
La nouvelle diplomatie économique asiatique : Chine, Japon, Corée comme exportateurs d'infrastructures
Centres et programmes liés
Découvrez nos autres centres et programmes de rechercheEn savoir plus
Découvrir toutes nos analysesLe gouvernement NPP au Sri Lanka : d'un changement de système à une conformité structurelle
En septembre 2024, Anura Kumara Dissanayake, un outsider relatif dans le système politique sri-lankais dominé par deux partis, a remporté les élections présidentielles. Le mouvement populiste anti-establishment qu'il représentait, le National People's Power (NPP), a ensuite obtenu un mandat écrasant lors des élections générales de novembre 2024, remportant 159 sièges sur les 225 que compte le parlement.
Trump II et l'Asie : le vent se lève…
L'Indo-Pacifique est une priorité de l'administration Trump II, la Chine étant perçue comme le principal rival stratégique des États-Unis. Toutefois, Donald Trump a entamé son second mandat de manière déconcertante en durcissant les relations avec les partenaires traditionnels de Washington. Il a ensuite ouvert les hostilités avec Pékin, déclenchant une guerre commerciale plus intense encore que lors de son premier mandat. Les autorités chinoises n'entendent pas se laisser faire.
Chine-Inde : un rapprochement sous contrainte
En marge du sommet de l’Organisation de coopération de Shanghai, qui s’est déroulé du 31 août au 1er septembre, le Premier ministre indien Narendra Modi a rencontré le président chinois Xi Jinping. Cette deuxième rencontre en moins d’un an reflète la volonté des deux pays de renouer le dialogue après une longue période de tensions, consécutive aux affrontements frontaliers dans la vallée de Galwan en juin 2020.
Élections au Japon. Le gouvernement en difficulté face à la montée des populismes
Les élections sénatoriales du 20 juillet 2025 ont marqué un tournant dans la vie politique japonaise.