Afrique subsaharienne
L'Afrique subsaharienne n'est pas monolithique. Si les crises au Sahel ont beaucoup retenu l'attention, les autres régions doivent aussi être suivies, et pas uniquement à travers le prisme de la sécurité.
Sujets liés
La politique russe de recrutement de combattants et d’ouvrières en Afrique subsaharienne
La guerre russo-ukrainienne, déclenchée le 24 février 2022, s’est rapidement internationalisée. La Russie et l’Ukraine se sont très vite efforcées de mobiliser leurs alliés afin d’obtenir un soutien politique et diplomatique, ainsi que des ressources militaires et économiques. Mais les deux belligérants ont aussi cherché à recruter des étrangers à titre privé pour soutenir leurs efforts de guerre respectifs. Cette politique est globale et s’étend de l’Amérique latine à l’Extrême-Orient. L’Afrique subsaharienne, dans ce panorama, présente un intérêt particulier car elle constitue un vivier de recrutement vaste et facilement accessible, en raison de taux de pauvreté élevés dans la plupart des pays de la zone conjugués à un important désir d’émigration.
L'armée américaine partie pour réduire ses effectifs en Afrique
Les soldats américains vont-ils quitter l'Afrique pour d'autres contrées ? Les ressources que le Pentagone consacre à l'Afrique ou au Moyen-Orient « pourraient être réduites et ensuite redirigées, soit pour améliorer la préparation de nos forces aux États-Unis soit vers le Pacifique », a en effet déclaré le chef d'état-major américain, Mark Milley.
Afrique : continent sous influence. « Chinafrique » : l’hégémonie contestée
Entre la Chine et l’Afrique, c’est un partenariat « gagnant-gagnant », affirme l’Etat chinois. Pourtant, des mécontentements se font entendre. Pourquoi la présence de la Chine après avoir suscité de nombreux espoirs est-elle aujourd’hui davantage remise en cause ?
Quels défis pour l'Afrique en 2020 ?
La montée de l’insécurité au Sahel : l’opération Barkhane est-elle dans l’impasse ? Une nouvelle crise de la dette se profile en Afrique : à qui la faute ?
« Le terrorisme sahélien entre global et local »
Mathieu Pellerin, chercheur à l’Institut français des relations internationales, livre son analyse en avant-première aux lecteurs du « Monde Afrique ». L’adjectif « glocal » est souvent utilisé pour caractériser l’identité des groupes djihadistes à travers le monde. Ce prisme de lecture s’est naturalisé au point qu’il est inconcevable aujourd’hui de les considérer indépendamment du contexte social, politique et communautaire dans lequel ils évoluent.
Avec Paul Kagame, le Qatar semble avoir trouvé son interlocuteur privilégié en Afrique
Jusqu’alors plutôt timide en matière d’investissements d’ampleur en Afrique, le Qatar vient de frapper un grand coup au Rwanda. La visite de l’émir Tamim ben Hamad Al-Thani, lundi 9 et mardi 10 décembre, couronne des mois de discussions pour annoncer l’un des plus gros projets qataris sur le continent.
Alain Antil : « La France est dans une position difficile au Sahel »
Alain Antil, responsable du Centre Afrique Subsaharienne de l’Institut français des relations internationales (Ifri), décrypte les enjeux de la mission Barkhane alors que 13 militaires français viennent de mourir en mission.
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