États-Unis
Malgré la polarisation de leur politique intérieure et les tensions sociales, les États-Unis restent un acteur majeur des relations internationales, aux niveaux économique, militaire et diplomatique.
Sujets liés

Un consensus fragilisé ? La pression sur la norme contre les essais nucléaires

À l’exception de la Corée du Nord, aucun État n’a mené d’essais nucléaires au xxie siècle, rendant compte de l’émergence d’une norme internationale forte contre de tels essais.
« Nous sommes dans une relation perdant-perdant avec les Etats-Unis »
Pour Laurence Nardon, responsable du programme Amérique du Nord à l'Institut français des relations internationales, les États-Unis ne font aucun cas de leurs partenaires français et européens tant ils sont focalisés sur leur réorientation stratégique face à la Chine. Ils ont une nouvelle fois fait preuve de leur unilatéralisme et freinent toute velléité d'autonomie stratégique.

Dans l’Indo-Pacifique, la Chine défend son hégémonie
Les ambitions sans limite de Pékin et sa posture offensive sur la scène internationale sont plus que jamais perçues comme une menace dans la zone.
Texas vs Californie, deux États, deux Amériques
Une confrontation qui n'a jamais aussi bien révélé la polarisation qui scinde les États-Unis. Cette semaine dans New Deal, lumière sur deux États américains: la Californie, qui a confirmé ce mardi 14 septembre par référendum son gouverneur démocrate Gavin Newsom, attaqué par l'opposition républicaine.
Trump et le Parti républicain : défaite électorale, victoire idéologique ?
Les quatre années du mandat de Donald Trump ont vu le renouvellement de nombreux élus républicains au Congrès. Souvent soutenus par l’ex-président dès les primaires du parti, ils ont été choisis pour leur dévotion envers lui et pour leur soutien aux différents éléments de son programme : si le conservatisme moral et le moins-disant fiscal et environnemental sont des principes anciens du Parti républicain repris par Trump, le nationalisme identitaire (anti-immigration) et économique (protectionniste), la défense des « Blancs non diplômés » présentés comme une minorité opprimée sont des préceptes plus récents apportés par l’ex-président populiste.

Espace. C'est le nouveau FAR WEST !
Des milliardaires qui font du tourisme, des astronautes qui s'amusent dans les stations orbitales, des annonces spectaculaires de projets de base lunaire, et même martienne... Ces événements très médiatisés ne doivent pas cacher le vrai enjeu. Une nouvelle ère de la conquête spatiale est ouverte : celle des mégaconstellations de satellites qui colonisent ni vu ni connu l'orbite basse depuis deux ans. Une ruée féroce que ne régit aucune loi... Et cette nouvelle ère spatiale, cette fois, va vraiment changer le monde.

En Allemagne l'écologie n'est pas seulement l'affaire des Verts
Le 26 septembre, les Allemands élisent leur nouveau Bundestag et avec cela, le nouveau chancelier ou la nouvelle chancelière. Le parti écologiste allemand Die Grünen se place parmi les favoris, derrière l’Union conservatrice (CDU/CSU) et le Parti socialiste (SPD). Un score envié par leur voisin français, à la peine dans les sondages de l’élection présidentielle.
Comment le 11-Septembre a façonné les États-Unis d'aujourd'hui
Vingt ans après, l'Amérique passe à autre chose. Pour ce premier épisode de la troisième saison de New Deal, retour sur les attentats du 11-Septembre et sur la présence américaine en Afghanistan (et en Irak).
Americans First : la géopolitique de l'administration Biden
États-Unis et Union européenne (UE) convergent désormais pour considérer la Chine, longtemps vue avec une certaine bienveillance, comme un rival systémique dans l’ordre international.
Washington-Téhéran : Les pourparlers de Vienne sur le JCPoA peuvent-ils aboutir ?
À la suite de la dénonciation de l’accord sur le nucléaire iranien (JCPoA) de 2015 par l’administration Trump en mai 2018, l’Iran a progressivement remis en place des capacités d’enrichissement de l’uranium et multiplie les provocations en mer d’Oman.

Etats-Unis : comment Joe Biden peut rebondir après la débâcle en Afghanistan
Ouragan Ida, résurgence du Covid-19, recul des droits des femmes au Texas... Le président des Etats-Unis n'est pas encore sorti de la série noire qui a plombé son été mais dont chaque épisode offre une opportunité de se relancer.

La mauvaise passe de Trump va-t-elle se transformer en défaite?
Alors que de nombreux observateurs prédisaient une réélection sans trop d'encombre pour Donald Trump, la situation semble se tendre pour le président américain. Pendant que Joe Biden fait la course en tête et creuse l'écart, lui perd des points dans l'opinion publique –même dans le camp républicain et chez ses plus fervents soutiens.
Trump, mauvaise passe
Donald Trump avait promis une démonstration de force à Tulsa samedi, dans le bastion républicain de l’Oklahoma. Le président américain qui tenait à marquer un grand coup, annonçait une foule immense d’un million de supporters pour son premier meeting depuis mars. Mais la foule n’a pas été au rendez-vous et les images de tribunes clairsemées font depuis beaucoup parler de l'autre côté de l'Atlantique. Car si l’événement était censé relancer la campagne de réélection de Donald Trump, il a au contraire viré au fiasco, soulignant la mauvaise passe que ce dernier traverse.
Les démocrates américains font-ils la bonne campagne face à Donald Trump ?
À un peu plus de quatre mois de la présidentielle américaine, Donald Trump est en difficulté. Il doit faire face aux conséquences économiques et sanitaires de la pandémie de Covid-19 et aux manifestations antiracistes dans son pays.

Quand Washington appelle à la «réévaluation fondamentale» de sa relation avec la Chine
Dans un rapport publié en mai qui a valeur de feuille de route, la Maison Blanche liste les actions menaçantes de Pékin et mentionne ses points de divergence avec le régime chinois qu'elle accuse de «transformer l’ordre international pour l’aligner sur les intérêts et l’idéologie du PCC». Et se dit prête à une «compétition de long terme».

Après la crise du Covid, comment le chômage baisse-t-il si vite aux États-Unis ?
Alors que le nombre de cas de Covid-19 commence à baisser doucement aux États-Unis et que certaines régions tentent un déconfinement, Trump 2020 revient cette semaine sur le bouleversement économique massif causé par la pandémie.
Trump : la loi, l'ordre ... et l'armée
Aux États-Unis, alors que deux autopsies ont confirmé le décès par asphyxie de George Floyd, les tensions ne retombent pas. Des milliers de personnes ont décidé de braver le couvre-feu imposé par les autorités dans plusieurs grandes villes des États-Unis et les critiques se multiplient contre la ligne dure adoptée par Donald Trump qui entend réprimer ce qu'il qualifie de "terrorisme intérieur" par la force.
Racisme : les États-Unis s'embrasent
Qualifiée de crime raciste, la mort de George Floyd, un homme noir tué par un policier à Minneapolis, a embrasé les grandes villes des États-Unis.

Pourquoi tant de violences policières aux États-Unis?
Lundi 25 mai, une nouvelle bavure policière a mis le feu aux États-Unis. Cette bavure, c’est celle qui a conduit à la mort de George Floyd, citoyen afro-américain de 46 ans, tué lors de son interpellation à Minneapolis. On a tous et toutes vu les images insoutenables de cet homme noir, plaqué au sol et étouffé par le policier Derek Chauvin, depuis inculpé pour «meurtre au 3e degré» et «acte cruel et dangereux ayant causé la mort».
Violences, émeutes... la grande fracture américaine
Cette semaine, les États-Unis se sont embrasés. Lundi, George Floyd, un afro-américain de 46 ans est mort suite à son arrestation par la police, qui le soupçonnait de vouloir écouler un faux billet de 20 dollars.
Une vidéo de son arrestation montre un des policiers, Derek Chauvin, le maintenir au sol en appuyant son genou sur son cou. “Je ne peux pas respirer”, répète George Floyd dans cette position, en vain.

Pro ou anti-Trump, les médias américains toujours plus clivants
Donald Trump et les médias, c'est compliqué: quand une info lui déplaît, il hurle à la «fake news» et fait huer les journalistes dans ses meetings. Même Fox News, pourtant très à droite, n’est pas exempte de ses critiques.
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