Russie-Chine : Pour Xi Jinping, le nouveau monde passe par Moscou
Le président chinois arrive ce lundi à Moscou pour une visite d’Etat de trois jours qui vise à renforcer les relations avec Vladimir Poutine. Un partenariat dominé par le régime de Pékin, qui entend refonder l’ordre international à son profit.
Guerre en Ukraine : « La Chine n'a fait aucun acte dans le sens d'une médiation » avec la Russie
Le président chinois Xi Jinping est arrivé lundi en Russie pour un sommet avec Vladimir Poutine. Marc Julienne, responsable des activités Chine de l’Institut français des relations internationales (Ifri), analyse les enjeux de cette rencontre pour la suite de la guerre en Ukraine.

Xi Jinping, médiateur No 1 du conflit en Ukraine? Diplomatie chinoiseXi Jinping, médiateur No 1 du conflit en Ukraine?

Guerre en Ukraine : le Kazakhstan se cherche un équilibre entre Moscou entre Kiev
Les électeurs kazakhs renouvellent leur Parlement ce dimanche alors que le pays tente en pleine guerre d’Ukraine de s’émanciper de Moscou.

Dimitri Minic - Pensée et culture stratégiques russes
Interview de Dimitri Minic, dans le cadre de la sortie de son ouvrage Pensée et culture stratégiques russes : du contournement de la lutte armée à la guerre en Ukraine, en librairie le 20 avril 2023.

Ukraine : « On nous envoie à l’abattoir »… Ces soldats russes qui en appellent à Poutine
Dans des vidéos, des groupes de Russes mobilisés interpellent le chef de l’État. Ils se plaignent d’avoir été envoyés à l’offensive sans préparation, d’avoir été trompés sur leurs missions, ou de manquer de matériel.
Les États-Unis en Asie centrale : un retour éphémère ?
Le retrait chaotique des États-Unis d'Afghanistan en août 2021 pouvait laisser présager une perte d'influence durable en Asie centrale.

Le point sur la guerre en Ukraine et la bataille de Bakhmout
Dans l’émission Un Oeil sur le Monde, présentée par Ruth Elkrief et Julien Arnaud, Hélène Blanc et Amélie Ferey reviennent sur les derniers développements de la guerre en Ukraine.

Les tirs à longue portée, stratégie militaire choisie par l’Ukraine depuis le début de la guerre
Les Américains ont fourni le kit JDAM, qui permet de transformer des bombes en missiles et toucher des cibles plus lointaines. Une arme en plus dans un arsenal qui compte déjà les canons Caesar et surtout les Himars, au rayon de 70 kilomètres.
(Replay) Forum France-Ukraine 2023
Replay vidéo de la conférence coorganisée par l’Ifri (France) et le New Europe Center (Ukraine) le vendredi 10 mars 2023 à l'Ifri coorganisé par l’Ifri et le New Europe Center (Ukraine).

Guerre en Ukraine : pourquoi la France livre si peu d'armes à Kiev
Avec minutie, depuis l'invasion russe du 24 février, les chercheurs du groupe de réflexion allemand Kiel Institute évaluent l'aide militaire fournie à l'Ukraine. Le classement qu'ils en tirent est loin d'être à l'avantage de la France. Celle-ci a beau disposer de l'une des armées les plus puissantes d'Europe occidentale - plus grand effectif et deuxième budget derrière l'armée britannique -, elle ne pointait, en octobre, qu'au 13e rang financier (216 millions d'euros). Loin derrière le trio de tête, formé des Etats-Unis (27,6 milliards), du Royaume-Uni (3,7 milliards) et de la Pologne (1,8 milliard, essentiellement pour du matériel d'origine soviétique).
L’innovation, une arme fatale
Alors que la guerre en Ukraine a évolué en conflit ouvert depuis février 2022, les récents événements militaires ont été l’occasion de repenser la nécessité de modernisation des armées françaises et européennes, non seulement afin de venir en aide aux Ukrainiens mais aussi et surtout face à la recomposition des enjeux géostratégiques et à la montée, de plus en plus tangible, du danger russe.
Thierry de Montbrial, président de l’Ifri : « Gagner une guerre, c'est ne pas la perdre »
Fondateur de l’Institut français des Relations internationales, Thierry de Montbrial présidera la semaine prochaine à Abu Dhabi la World Policy Conference, un rendez-vous annuel d’échanges sur la situation internationale et qui sera largement consacré à la guerre en Ukraine .

Armement : les leçons de la guerre en Ukraine
Cela fait plus de neuf mois que la Russie a envahi l'Ukraine. Un conflit à haute intensité où plus de 60.000 obus ont été tirés en une seule journée au plus fort de la guerre. Quels sont les pays fournisseurs d'armes ? Que révèle ce conflit sur nos capacités d'armement et celles de nos voisins ?
Opération séduction en Asie centrale
Ouzbékistan, Kazakhstan, deux pays de l'Asie Centrale, anciennes républiques soviétiques qui intéressent beaucoup Paris et pas seulement ! Moscou, Pékin, Ankara ou Bruxelles sont sur les rangs… mais pourquoi donc ?

La Russie a-t-elle encore les moyens de sa guerre ?
Tandis que le Président Biden réaffirmait ces jours-ci son soutien indéfectible à l'Ukraine, Jens Stoltenberg, le secrétaire général de l’Otan s’exprimait lui en début de semaine pour dénoncer la nouvelle stratégie russe consistant à bombarder les infrastructures civiles vitales des ukrainiens. 40% du système énergétique ukrainien est en effet actuellement hors d’état de servir selon les opérateurs locaux.

Après Kherson, la Crimée ?
Après la reprise de Kherson à la mi-novembre, l’armée ukrainienne se rapproche de la Crimée annexée. La péninsule servira-t-elle de monnaie d’échange entre l’Ukraine et la Russie ? Ou provoquera-t-elle une montée aux extrêmes ? La reprise de Kherson par l’armée ukrainienne a soulevé un espoir : la perspective de la paix après neuf mois de conflit. Volodymyr Zelensky a affirmé que cette victoire marquait « le début de la fin de la guerre », tandis que Vladimir Poutine paraît plus isolé que jamais.

Guerre en Ukraine : les canons livrés à Kiev par les pays occidentaux subissent une usure accélérée
Des centres de maintenance sont créés en Slovaquie ou en Pologne pour réparer les dommages causés à certaines unités par les missiles russes, mais surtout par les contraintes d’un conflit dit de « haute intensité ».
Rencontre entre E. Macron et K. Tokaïev : Paris veut renforcer ses liens avec le Kazakhstan
Le président kazakhstanais Kassym-Jomart Tokaïev est en visite à Paris mardi 28 et mercredi 29 novembre pour renforcer les liens entre la France et ce pays d'Asie centrale, une région hautement stratégique que Paris et l'Europe ne veulent pas laisser aux influences russes, chinoises, turques ou américaines. Michaël Levystone, chercheur associé au Centre Russie/NEI de l'Institut français des relations internationales (IFRI), était sur le plateau de France 24 pour évoquer le sujet.
Comment la France peut profiter du recul de l'influence de Moscou en Asie centrale
La visite en France du président du Kazakhstan Kassym-Jomart Tokaïev, à la fin du mois de novembre, pourrait permettre de créer un partenariat dans le nucléaire. Astana peut aussi servir de canal de communication avec le Kremlin.L'Asie centrale se trouve exposée aux conséquences des deux plus graves crises internationales du moment : l'Afghanistan, à nouveau tombé sous la coupe des Talibans le 15 août 2021, et l'Ukraine, envahie par la Russie le 24 février 2022.
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