Au seuil du Brexit, que dire des dossiers décisifs ? Politique étrangère les résume en quatre questions. Un Royaume-Uni solitaire aura-t-il les moyens de redéfinir à sa convenance ses relations avec le vaste monde ? Comment résoudre le problème de la frontière irlandaise...

Publications
Avec plus de 150 parutions annuelles en français, anglais, allemand et russe en libre accès, l’Ifri enrichit le débat international dans un souci constant d’objectivité, de rigueur intellectuelle, de transversalité, d’ouverture et d’accompagnement à la prise de décision des acteurs publics et privés.
Dans une conjoncture marquée par l’échec des interventions militaires, des attentats multiples et des législatives critiquées, l’incertitude est réelle dans le pays.
Comment sort-on des guerres ? Cent ans après 1918, le dossier de Politique étrangère reprend la question sous plusieurs éclairages, selon les conflits auxquels, volens nolens, les armées occidentales sont parties prenantes.
Les dirigeants iraniens nourrissent des ambitions régionales et sont conscients des limites de la puissance de leur pays.
L’Intelligence artificielle (IA) progresse rapidement et devient un véritable outil de puissance.
Les cyberattaques tendent à se multiplier et à devenir plus complexes. Les auteurs, comme les victimes, peuvent être des États ou des acteurs privés.
Le Bharatiya Janata Party (BJP) de Narendra Modi dispose depuis 2014 d’une majorité inédite. Son gouvernement a nettement valorisé le marché indien à l’échelle internationale.
Le cyber est sans conteste devenu un élément géopolitique, en ce qu’il façonne, à sa manière, les rapports entre acteurs du jeu international – le dossier proposé par ce numéro de Politique étrangère le rappelle.
Depuis 2015, plusieurs pays de l’Union européenne (UE) ont été touchés par des attentats.
Avec la mondialisation qui affaiblit leurs frontières et leurs souverainetés, les États seraient-ils désormais marginaux sur la scène du monde ? Le débat sur « la fin des États » a pu le laisser croire ; mais on assisterait plutôt à une prolifération des « désirs d...