 
Energy Relations between Russia and China: Playing Chess with the Dragon
Après les sanctions, quel futur pour les relations énergétiques Russie-Chine ?
 
Shifting Political Economy of Russian Oil and Gas
Des changements importants sont à attendre en matière de stratégie énergétique et d'alliances politico-énergétiques russes suite aux évolutions d'un marché domestique des hydrocarbures mis à mal par la crise économique et les sanctions qui ont suivies l'annexion de la Crimée.
Russie : le retour des impératifs de politique intérieure
Tatiana Kastouéva-Jean analyse la politique intérieure russe dans le contexte de la crise économique qui ne sera sans doute pas sans effet sur les résultats des élections législatives de septembre 2016.
Le « conservatisme » en Russie : instrument politique ou choix historique ?
Le troisième mandat de Poutine se déroule sous la bannière du « tournant conservateur ». Le Kremlin est-il finalement parvenu à définir son idéologie en faisant du conservatisme sa doctrine officielle ? Ou cette invocation du conservatisme n'est-elle qu'une manœuvre politique visant l’atteinte de certains de ses objectifs ?
Que faire de la Russie ? Que faire avec la Russie ?
La confusion des Occidentaux face à l’intervention russe en Syrie serait distrayante si elle ne révélait une mécompréhension de la politique russe, à un moment où leur impuissance au Moyen-Orient se fait plus claire.
Syrie : le pari risqué de Moscou
L’histoire se répéterait-elle ? En 1956, le coup d’éclat diplomatique de l’URSS lors de la crise de Suez détourna l’attention des Occidentaux de la répression de l’insurrection de Budapest par l’Armée rouge. Six décennies plus tard, l’affirmation russe en Syrie se produit alors même que se fixe le front ukrainien, permettant à Vladimir Poutine de tester la fermeté des Occidentaux tout en ayant les coudées plus franches dans le Donbass.
 
The Political and Commercial Dynamics of Russia's Gas Export Strategy
Une analyse en profondeur des interactions de la Russie et de Gazprom face aux nouveaux défis présentés par le marché mondial des hydrocarbures.
 
La Russie, une puissance faible ? / Climat : avant la Conférence de Paris
Comprendre la Russie d’aujourd’hui, c’est savoir qu’elle se définit d’abord dans l’action extérieure – ce qui peut être dangereux. Qu’elle a les moyens d’agir – énergie, armes… –, mais que ces moyens sont limités. Qu’elle connaît des difficultés économiques bien antérieures aux sanctions, que le régime se refuse à traiter… économiquement. Et que le raidissement du régime poutinien ne saurait garantir sa propre durée.
La Russie : entre la géopolitique et l’émergence
La crise ukrainienne semble faire redécouvrir à l’Europe la géopolitique, avec la prise des territoires, les rivalités entre les grandes puissances et le partage des sphères d’influence. La Russie est pointée du doigt comme la principale initiatrice de ce retour à la géopolitique, elle, qui pourtant faisait de l’émergence une carte majeure de son retour sur la scène internationale.
La Russie : une transition inachevée ?
Huitième puissance économique mondiale, la Russie opère une transition politique et économique depuis l’effondrement de l’URSS en 1991. L’économie russe, fortement dépendante de ses exportations d’hydrocarbures, est confrontée à d’importants problèmes structurels (faible diversification, réformes inachevées) auxquels s’ajoutent depuis quelques mois une série de des difficultés conjoncturelles (baisse du prix des matières premières, chute du rouble, sanctions occidentales).
Le « conservatisme » en Russie : instrument politique ou choix historique ?
Le troisième mandat de Poutine se déroule sous la bannière du « tournant conservateur ». Le Kremlin est-il finalement parvenu à définir son idéologie en faisant du conservatisme sa doctrine officielle ? Ou cette invocation du conservatisme n'est-elle qu'une manœuvre politique visant l’atteinte de certains de ses objectifs ?
Que faire de la Russie ? Que faire avec la Russie ?
La confusion des Occidentaux face à l’intervention russe en Syrie serait distrayante si elle ne révélait une mécompréhension de la politique russe, à un moment où leur impuissance au Moyen-Orient se fait plus claire.
Syrie : le pari risqué de Moscou
L’histoire se répéterait-elle ? En 1956, le coup d’éclat diplomatique de l’URSS lors de la crise de Suez détourna l’attention des Occidentaux de la répression de l’insurrection de Budapest par l’Armée rouge. Six décennies plus tard, l’affirmation russe en Syrie se produit alors même que se fixe le front ukrainien, permettant à Vladimir Poutine de tester la fermeté des Occidentaux tout en ayant les coudées plus franches dans le Donbass.
 
La Russie, une puissance faible ? / Climat : avant la Conférence de Paris
Comprendre la Russie d’aujourd’hui, c’est savoir qu’elle se définit d’abord dans l’action extérieure – ce qui peut être dangereux. Qu’elle a les moyens d’agir – énergie, armes… –, mais que ces moyens sont limités. Qu’elle connaît des difficultés économiques bien antérieures aux sanctions, que le régime se refuse à traiter… économiquement. Et que le raidissement du régime poutinien ne saurait garantir sa propre durée.
La Russie : entre la géopolitique et l’émergence
La crise ukrainienne semble faire redécouvrir à l’Europe la géopolitique, avec la prise des territoires, les rivalités entre les grandes puissances et le partage des sphères d’influence. La Russie est pointée du doigt comme la principale initiatrice de ce retour à la géopolitique, elle, qui pourtant faisait de l’émergence une carte majeure de son retour sur la scène internationale.
La Russie : une transition inachevée ?
Huitième puissance économique mondiale, la Russie opère une transition politique et économique depuis l’effondrement de l’URSS en 1991. L’économie russe, fortement dépendante de ses exportations d’hydrocarbures, est confrontée à d’importants problèmes structurels (faible diversification, réformes inachevées) auxquels s’ajoutent depuis quelques mois une série de des difficultés conjoncturelles (baisse du prix des matières premières, chute du rouble, sanctions occidentales).
Le Web en Russie : de la virtualité à la réalité politique ?
Le contexte international et l'entrée de la Russie dans un cycle électoral placent le Web russe sous tension.
Le Web russe : espace de tensions entre la société et l'Etat
Cette étude analyse l'effet du Web sur la société russe dans les années 2000, ainsi que les relations complexes entre Internet, les groupes de blogueurs et d'activistes numériques et des autorités désireuses de les manipuler.
L'université Goubkine : réservoir de cadres pour le secteur pétrolier et gazier
Cette monographie s'inscrit dans le cadre du projet de recherche "Zoom sur les universités russes" qui vise à analyser une série d'établissements d'enseignement supérieur russe (EES). Elle est consacrée à l'Université du pétrole et du gaz Goubkine, située à Moscou.
 
Présidentielle en Russie : à quoi servent les trois candidats de « l’opposition systémique » face à Vladimir Poutine ?
Le nationaliste Leonid Sloutski, le communiste Nikolaï Kharitonov et l’homme d’affaires Vladislav Davankov sont candidats à l’élection présidentielle russe. Issus de l’opposition « systémique », acceptée par le pouvoir en place, ils ne sont qu’une concurrence de façade.
 
Quelle opposition face à Vladimir Poutine ?
Les Russes sont appelés aux urnes à partir de vendredi (15 mars 2024), pour élire un nouveau président, ou plutôt pour réélire un ancien président Vladimir Poutine, puisqu’en l’absence de véritable opposant sa victoire ne fait pas de doute.
Russie : le simulacre de l’élection présidentielle
Les électeurs russes se rendent aux urnes du vendredi 15 au dimanche 17 mars. Vladimir Poutine est candidat pour un cinquième mandat. Sur le papier, il s’agit d’une élection présidentielle – parlons plutôt d’un simulacre puisque le président sortant a fait éliminer ses rares opposants.
Obsèques de Navalny : Le réveil de la contestation
Ils étaient des milliers ce vendredi à Moscou à faire leurs adieux à Alexeï Navalny. Un hommage courageux à l'opposant numéro un de Vladimir Poutine, mort le 16 février dernier. La foule de citoyens a en effet surpris vu le vaste dispositif policier mis en place. En dépit de ses efforts, et de quelques 128 arrestations, le chef du Kremlin ne parvient pas donc pas à faire disparaître la dissidence.
Malgré la guerre, l’indéfectible stabilité au sommet du pouvoir russe
La garde rapprochée de Vladimir Poutine est restée inchangée et aucune défection d’ampleur n’a été enregistrée, y compris dans les rangs de l’armée et des services de sécurité.
En Russie, « la minorité qui tente de rester informée vit un exil intérieur »
Il y a deux ans, la Russie lançait son invasion de l’Ukraine : une action militaire dans un contexte plus large de guerre informationnelle, menée sur plusieurs fronts et depuis de nombreuses années. Mais en Russie-même, quelles sont les informations à disposition des citoyens ? Et quels comportements adoptent-ils à leur égard ?
Mort de Navalny : la méthode Poutine
Alexeï Navalny, le principal opposant de Vladimir Poutine, est mort le 16 février dernier dans une prison située en Arctique. Que raconte sa mort du pouvoir poutinien ?
Thomas Gomart : « Le Kremlin a déclaré une guerre politique à l’UE »
Selon l’historien, auteur de « L’Accélération de l’Histoire » (Tallandier), il est urgent que l’Europe prenne enfin la mesure de la menace posée par la Russie qui agite le spectre nucléaire.
Thomas Gomart : « Toutes les crises actuelles sont liées par des effets de bord et une redistribution de la puissance au détriment des Européens »
Le directeur de l’Ifri, appelle, dans un entretien au « Monde », l’Europe à se doter d’une stratégie militaire propre dans un contexte économique dégradé et la perspective d’une éventuelle victoire de Donald Trump aux Etats-Unis, susceptible de modifier la relation transatlantique.
Face aux attaques russes, le cri d’alarme d’un général ukrainien
Les récentes frappes massives russes contre des grandes villes ukrainiennes visent, selon les experts, à épuiser la population et la défense antiaérienne de l'Ukraine, qui a une nouvelle fois réclamé plus d'armes à ses alliés occidentaux, des « « systèmes de défense antiaérienne supplémentaires, des drones de combat et des missiles d'une portée de plus de 300 kilomètres ».
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