L'Ukraine risque-t-elle de perdre la guerre faute de munitions ?
Ukraine : un an après le début de la guerre, les stocks de munitions sont au plus bas et la capacité de production des alliés ne suit pas. L’Ukraine risque-t-elle de perdre face à la Russie, faute de munitions ?
Guerre en Ukraine : Macron a-t-il vraiment changé de position depuis le début du conflit ?
Si Emmanuel Macron a changé de discours depuis le début de l’invasion russe en Ukraine, il considère toujours qu’il va falloir négocier avec la Russie.
L'industrie de défense au défi de l'économie de guerre (vidéo)
Interview d'Emmanuel Levacher, président d'ARQUUS, par Jean-Dominique Merchet, journaliste, spécialiste des questions de défense à l'Opinion.
Guerre en Ukraine : « Pourquoi les usines de munitions d’Europe ne tournent-elles pas à plein régime ? »
Les Etats européens doivent faire parvenir au plus vite les moyens de soutenir l’artillerie ukrainienne, mais leurs stocks sont vides. Un an après le déclenchement de la guerre, le sentiment d’urgence est tardif, estime dans sa chronique Sylvie Kauffmann.
Guerre en Ukraine : Pourquoi la Chine n'a pas « envie » de jouer « les médiatrices »
Neutralité (de façade). Contrairement à ce que semble espérer Emmanuel Macron, la Chine n’a aucun intérêt à intervenir dans la guerre en Ukraine en faveur de pourparlers, malgré ses leviers de négociation avec Moscou.
Élie Tenenbaum : “Vladimir Poutine n’a jamais choisi l’option de l’escalade vis-à-vis des Occidentaux”
Alors que la livraison de chars à l’Ukraine soulève un vaste débat sur l’implication militaire des Européens et des Américains, Élie Tenenbaum nous donne son éclairage sur les risques d’escalade.
Ukraine : un an de guerre, et maintenant ?
Selon les renseignements ukrainiens, Vladimir Poutine serait en train de préparer une attaque de grande ampleur dans l’Est de l’Ukraine afin de reprendre la main sur le conflit. Ce serait une question de jours. Élie Tenenbaum, spécialiste de la guerre et directeur du Centre des Études de Sécurité de l’IFRI, dresse un état des lieux de cette guerre qui semble s’inscrire dans la durée.
"Cette guerre en Ukraine est aussi existentielle pour nous"
Sylvie Kauffmann, éditorialiste de politique internationale au Monde et ancienne correspondante à Moscou, et Thomas Gomart, directeur de l’IFRI et auteur de "Les ambitions inavouées" (Tallandier) analyse la diplomatie française et européenne vis-à-vis de l'Ukraine.
(Replay) Intégration à l'OTAN, guerre en Ukraine : quels nouveaux enjeux de sécurité pour la Suède et la Finlande ?
Une conférence autour d'Esa Pulkkinen, secrétaire permanent du ministère finlandais de la Défense, et de Peter Sandwall, secrétaire d'État auprès du ministre suédois de la Défense.
La perception de la guerre en Ukraine en Europe orientale, dans le Caucase du Sud et en Asie centrale
Tatiana Kastouéva-Jean revient sur les répercussions de la guerre en Ukraine dans le Caucase et en Asie centrale :
Nucléaire : la Russie met en danger l’architecture de non-prolifération et de maîtrise des armements
Alors que Moscou a rejeté vendredi le document final rédigé lors de la 10e conférence de réexamen du Traité de non-prolifération, l’invasion de l’Ukraine fragilise les efforts pour le désarmement nucléaire international.
Guerre en Ukraine : la centrale nucléaire de Zaporijia, une arme de chantage pour Poutine
Contrôler la plus grande centrale nucléaire d'Europe offre au chef du Kremlin, prêt à prendre tous les risques, un moyen de pression sur Kiev. Et sur les Occidentaux.
Vladimir Poutine signe un décret visant à agrandir l’armée russe
Le président russe a signé, jeudi 25 août, un décret visant à augmenter l’effectif de son armée de 137 000 militaires, soit plus de 10 % de la force de combat actuelle. Cette mesure devra entrer en vigueur le 1er janvier 2023.
Ukraine : pourquoi l'augmentation des effectifs de l'armée russe ne changera pas le cours de la guerre
Vladimir Poutine a signé un décret ordonnant l'augmentation de la force de combat actuelle de 137.000 hommes, soit une hausse de plus de 10%. Mais cette politique paraît difficile à mettre en œuvre.
Ukraine : les civils ciblés, la centrale occupée...
Volodymyr Zelensky le craignait, les services secrets américains l'avaient annoncé... La Russie a frappé. Un bombardement russe a touché hier soir la gare de Tchaplyne, dans le centre de l’Ukraine. Le bilan provisoire s’élève désormais à vingt-cinq morts, dont deux enfants, et trente et un blessés, a annoncé ce matin l’opérateur des trains ukrainiens.
Ukraine : un dénouement rapide est-il possible ?
Les Ukrainiens auront du mal à réunir une force offensive assez conséquente et donc à changer, pour l’instant, le cours de la guerre. L’armée russe est quant à elle sur la défensive sur une partie du front, subit des attaques déstabilisantes à l'arrière et, au fond, a déjà essayé plusieurs fois d’obtenir cette victoire rapide, en vain.
Après six mois de guerre en Ukraine, à quoi s'attendre ?
Six mois après l'invasion de l'Ukraine par la Russie, le conflit ne semble pas près de se terminer et s'enlise, selon des experts. Combats et frappes russes meurtrières se poursuivent au quotidien.
Luttes d'influences sur le terrain africain
Comment l'Afrique est-elle (re)devenue un terrain géostratégique ? Les tournées diplomatiques de Sergueï Lavrov et d'Emmanuel Macron illustrent combien le continent reste un partenaire stratégique considérable, tant d'un point de vue économique que politique. Un épisode des Matins d'été avec Nicolas Herbaux, Seidik Abba (journaliste-écrivain, chroniqueur au Monde Afrique.), Alain Antil (Directeur du centre Afrique subsaharienne à l'IFRI, enseignant à l'Institut d'Etudes Politiques de Lille et à Paris I Sorbonne).
La chasse aux « volontaires », enjeu prioritaire de l’armée russe pour tenir en Ukraine
Moscou ne lésine pas sur la paie et les avantages promis aux engagés et se tourne également vers les sociétés privées de mercenaires, comme Wagner.
« La Russie pense toujours qu’elle peut faire plier l’Ukraine », cinq mois après l’invasion
La guerre s’enlise depuis le début de l’invasion russe en Ukraine. Pour la chercheuse de l’Ifri Tatiana Kastouéva-Jean, l’issue politique du conflit « prendra des années, voire des décennies ».
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